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Show i6i LES PELERINS A L L N e m e preffez pas davantage. BALKIS. A I R 66. (Kon, non, je ri aimer ai plus.) Voyez m a MairrefTe; Sa vive tendrcife, Ses brillars attraits, Finiront vos regrets: Aimez fur nouveaux frais. ALI. Non, non, je n'aimerai plus J'ai vu mounr m a PrincenV! Non, non, je n'aimerai plus; Vos pas font tous pas perdus. SCENE X. ALI, BALKfS, ARLEQUIN. (Arlequin arrive tout barhouilU de crime, y tenant un fauciffon dans lequel il mord.) A R L E Q U I N , la bouckc pleine. A h ! Seigneur A U ! . . . ALI. Qu'ya-t-ilr AR_ DE LA MECQUE. io~j ARLEQUIN. A I R 67. (Ah ! quilfa'tt bon la !) Venez, venez vite Voir cette maifon! Dans cet heureux gite Tout eft a foifon: O n y fait tres bonne chere, Laire, Lonlanla; O n y fait tres bonne chere, A h I qu'il rait bon la I ALI. V a te promener, avec ta bonne chere. A R L E Q U I N , tapant du pied. L'Enragc*! A I R , (Jardinier nt vois-tu pat.) Vous perdez un bon moyea D e nous remplir le ventre. Entrcz. BALKIS. II n'en fera rien. ARLEQUIN. Quoi qu'il dife, il faudra bien Qu'il entre, qu'il cntrc, qu'il entrc m Alt. m • |