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Show 4J6- Comment ? ACHMET SOLIMAN,/*r/r«, ALMANZINE. Vabuferois de vos bontez, & j'aurois bien ffilaki.il W &« l«* 1ue fa faute demeu[c impunie. A L I. Elle a raifon. SOLIMAN. H C , de quelle maniere voulez-vous doncle punir? ALMANZINE. Vn retenant fa Fille aupres de moi, pour Iinne urns feulement. Le chagrin qail S £ q d c n f E point voir, vous vengera to 4e fa defobeiffance. SOLIMAN. „, e*\t olaifir ie confens qu'elle Si cela vous rait piamr, j^ vous tienne compagnie. - (^ii/« r****** «> mconttnt.) ALMANZINE. Ai*A3<l'*lm'^eUim,) Attalide a de la douceur, ifc Bicl ET ALMANZINE. 437 Bien plus tendrement qu'une Soeur, Je l'aime, Je l'aime. Elle paroit, Seigneur, Maimer de meme. SOLIMAN. A la bonne heure. Mais elle fe regardera toujours ici comme une Efclave, & je crois qu'elle s'enuuyera bientot avec vous. ALMANZINE. AIR 108. (J'avois, Lizette, un billet doux.) Ceft mon affaire, Et je pretends Fort bien lui faire Paifer fon terns. Nous broderons, & nous ferons des nceuds, Pour votre ufage : Nous travaillerons toutes deux Au meme ouvrage. bis. SOLIMAN. He'bien, je viendrai quelquefois vous voir travailler Pune & l'autre. AIR, (C'eft le Prince dOrange.) Je me flatte d'avance T 3 D'etre |