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Show ; 47o ACHMET ( Souvenir trop amer!) Du Balcon dans la Mer SeTont precipitees. SOLIMAN. O Dieux 3 quelle nouvelle ! ALI. Cela fe peut-il cro're! SOLIMAN. Mais (actions pourquoi elles fe font ponces a cette cruelle extrernite*. PIERROT. Almanzineeft alle*e avec Attalide au Balcon, ou je les ai fuivies- Almanzine p'euroit a chaudes iarmes, endifant: A h ! Ie mtchant Saltan! AIR, ( O reguingue 6 lonlanla!) Nous ailons le voir arriver! II vient pour m e faire endever! La pefle le puifie crever! Mais j'aime mieux perdre la vie, Que de contenter fon envie. SOLIMAN. ET ALMANZINE. 471 PIERROT. Et moi, adit Attalide, plittot que de me voir ici Captive le refte de mes jours, je fuis pre'teamedonuerla mort, He-bien, mourons tout-a-l'heure, lui a dit Almanzine. A I R 62,. (Tres volontiers, mon Pere.) J'approuve ce deffein, Lui replique Attalide; jettons-nous dans le fein De la Plains liqujde. L'autre repond foudain: Ties volontiers, fort volontiers, m a Chere; De ce, lieu- ci, Jettons-nous-y La tete la premiere. Auffi-tftt dit , anffi-tot fait. Almanzine d'un c6te , Pon ! Attalide de l'autre , Pouf ! Quelle ftireur SOLIMAN. ALI. I Cela eft furprenant. PIERROT. Elles ont fait leur coup fi brufqueraent, que je n'ai pu les retenir. < X 4 so / |