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Show 3<b LES AMOURS ARLEQUIN. Peut*dtre qu'en ce moment Madame Pie-de- mouche dtrangle votre Maitre-Clerc , a force de le hair. ( // lut montre les comes.) M. PIE'-DE-MOUCHE. Vous £tes un mauvais plaifant. ARLEQUIN. Et vous un Coucou. (Lt Procureur veut maltraiter Arlequin, qui It chaffe k coups de batte.) SCENE XIII. ARLEQUIN, LEANDRE. ARLEQUIN. Hd bien, Partifice a-t-il rdufti aupres de voire belle Coufine? LEANDRE. Te n'ai pu la rencontrer encore..... Mais, cell eft heureux , je la vois qui s'approch, Elle eft feule. AR. DEGUISEZ. 3dJ ARLEQUIN. Jevouslaifte avec elle. Profitez de Poc-cafion. Pendant ce tems-la , je vais voir fi tout eft prdt pour notre Revue. SCENE XIV. LEANDRE, COLETTE. LEANDRE. Comment done, ma Coufine? vous a Cy« there! COLETTE. AI R I. (%ui veut fe mettre en menage.) J'en fuis moi-meme dtonnde, Et je ne fai pas pourquoi Les Amours m ont amende Dans cette Ifle, malgre moi. Fort fujets a fe meprendre^ Ont-ils cru, ces petits Foux, Q'on ne pouvoit fe defendre D'un Amant fait comme vous? LEANDRE. Ils auroient tort. Et ils n'ont pas efTeai-vement raifon, de vouloir que vous paroif- »ez a leur Revue, vous qui n'ctes fenfible Q 2 au* |
