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Show 4° LE T E M P LE S C E N E V 11 r. LA FOLIE, U N MEUSNIER, ri-chement vitu , arrivant dans unt Chaifi a Porteur. L A F O L I E , apart. II paroit homme de confequence. LE MEUSNIER, faluant gr offer tment. Madame, ...jevou - je vou - LA FOLIE. Qu'y a-t-il pour votre fervice? LE MEUSNIER. Je voudrions bian favoir c o m m e 9a ou c'eft que je pourrions trouver la Gioire. L A F O L I E , riant. Ha, ha, ha, ha ! ce n'eft qu'un Manant! LE MEUSNIER. A 1R, ( Ton humeur tfl Catherine.) ' Morgue, vous me feriaizWoire Que c'eft vous, car vous riez. LA FOLIE. Oui, l'Ami, tu vois la Gioire De -. ••* •£-• j « I rhi ibir*m iartTi%" * I i D E M E M O I R E. 41 De la tete jyufqu'aux pieds. Dans ceslieux que viens tu faire? LE MEUSNIER. J'y vians vous parlcr d'amour. Vous feraiz ma Minagere, Si vous voulez, dres ce jour. L A FOLIE. Tun'ypenfespas. Meconvient-ildVpoufer un PaiTau? L E M E U S N I E R. O h ! fi j'avonse'te' PaYfan, je nelefommes pus. N e le voyez-vous pas bian a m o n habit? Je regorge de hian; il ne m e faut pus a ft'heurc que de l'honneur. L A F O L I E. Quel commerce as-tu fait pour t'enri-chir? LE MEUSNIER. J'ai et£ Meugnier. LA FOLIE. A I R , (Les lilies de Nanterre.) Pour fe mettre a fon aifc, C'eft done un bon metier ? LE M EUSNIER. II vaut, ne vous deplaife, Celui |