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Show J jf* LES AMOURS II fait Ie gros & le menu Lui feul daas m o n menage. H e , dru, dru, dru I Je n'en ai jamais vu D e ft rude a l'ouvrage. ARLEQUIN.] Je voug en fdlicite. FARINETTE. AIR 117. ( Il va fon train.) II blute fa farine, Des la pointe du jour, Paitrit, fait la cuifine , Et met la pate au four. M o n gros Thomas N'eft jamais las; II va fon train, fcoir & matin. ARLEQUIN. Oh , diable! Madame Farinctte, c'eft un trefor que ce Micron la! Vous ne pouvez a-voir trop de reconnoiilance pour un fi boa Ouvrier. FARINETTE. Aufli en ai-je, & de la plus fine encore. Je lc DEGUISEZ. 3f? lc traite a bouche que veux-tu ; il eft chez moi a me*me de tout. ARLEQUIN. Mais s'il prenoit envie a quelque Boulange-redevous foufrler 1'infatigable T h o m a s , que diroit a cela votre rcconnoiifance ? FARINETTE. Oh! jel'dtranglerois, laChienne! t ARLEQUIN. Sans doute, £ caufe du profit qu'il vous fait dans votre boutique, FARINETTE. Non. Ce n'eft po'nt Pinterdt qui me mene. A I R , (Je n faurois.) J'aimerois mieux aller nue, Et coucher m e m e fans draps, Q ue d'ecas coufue, Et de vivre fans,Thomas. Je n' faurois Perdre ce garcon de vue, J'en raourrois. ARLEQUIN. Ouida! Ho bien, Madame Farinette, don-nez- |