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Show 46 LE TEMPLE LA FOLIE. V a m'attendredans m o n Temple.. (7/ falue, O* sen va,) <Hfr<gB» filwii iMPiBff nP *§§s»«ijg» S C E N E IX. LA FOLIE, UNPEINTRE, Arlequin. LEPEINTRE. A I R , (Vraiment, ma Commere, voire.) N'epoufe-t-on pas ici ? LA FOLIE. Ouida, m o n Compere, oui. LEPEINTRE. Et n'etes-vous pas la Gioire ? LA FOLIE.* Vraiment, m o n Compere, voire, Vraiment, m o n Compere, oui. LEPEINTRE. A h ! charmante Gioire ! votre vue a mis le feu aux quaere coins de; m o n cceur ! Pour dteindre cet incendie, j'ai recours aux pompes de vos bontes. (A 1 DE MEMOIRE. 47 (Il veut la careffer.) A I R 14. {He, zing, zing, zing.) L'Ami, tout doux! Craignez d'attirer m o n courroux. Quelles qualitez avez-vbus, Pour vouloir etre.mon Epoux? LE PEINTRE. Je fuis, ma Petite, Tout plein de merite , Et furtout un bon Gaillard, Qui ne fera point lit a part. H e , zingr, zing, zing, Madame, la Marie', Cla,cla, cla, Lira, lironfa, Gue, gue, gue, Le joli panier Va danfer. LA FOLIE, Doucement! Vous me paroilfez un plaifant Original. Qui £tes-voiis ? LE PEINTRE. A I R 15. (Le Gourdin.) Je fuis un h o m m e tout divin, ''ft-m Qui meurt de foif & de faim: Je |