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Show 44i ACHMET ACHMET. Je vous avoac que Cela m'inquictc aofll J; n'y comprends rien. ALMANZINE. La voici apparemment. SCENE VIII. ALMANZINE,ACHMET, PIER. R O T en Nourrice. P I E R R O T , dam le lointain. AIR 137. (Lurelu.) Ma chere Attalidette! Dans quel endroit es-tu ? Lurelu. Vien recevoir, Poulette, Celle qui t'allaita, Larela, Lurelu , larela, lirette, H a ! m a foi, la voila! ACHMET. E h ! c'eft toi, Pierrot ! A h ! que tu nous as mis en peine ! Quelle extravagance . Pourquoi as-tu hazarde' un pas fi dange-reux? £R. ET ALMANZINE. 44} PIERROT. Par amitid p*>ur vous. Je venois, fous ce de'guifement, vous aider a fupporter la rude befogne ou je vous croyois condamnd dans les Cuifmes du Serrail. AIR, ( Ma raifon s'en va beau train.) Mais je me fuis fort tromp£; Et je vous trouve occupe* D'un plus doux emploi, Qui n'a rien, je croi, Qui puiffe vous deplaire: Je m'imaginc que fans moi, Vous pourrez bien le faire, Lonla, Vous pourrez bien lc faire. ACHMET. Oui, mon Ami. Grace aux bontez dfAlmanzine, m o n ddguifement a reufli ; & le Sultan, a fa priere, veut bien que je demeure aupres d'elle. PIERROT. Je vous en fdlicite. Vous £tes deux bonnes pates d'Enfans. AIR 138. (Perrette etant deffus Xherbette.) Par la jarni ! c'eft gttand domfnage, Que |