OCR Text |
Show 208 LES PELERINS LE. CALENDER. II faloit, par curioiite, prendre un de ces Billets. ARLEQUIN. He, vraiment, je n'y ai pas manque'. J'en ai un la. Tenez , le voici. (Pendant que le Calender lit le Billet , Arle* quin dit:) O n peut, par cette fomme ex ce (five, juger de 1'eices de fa fureur. Fin (du Vranle deMetz.) A h ! m o r b l e u , s'il n o u s tenoit, C o m m e il n o u s etrille, etrille; A h ! m o r b l e u , s'il nous tenoit, C o m m e il n o u s e^rilleroit! LE CALENDER. Je vous quitte pour un moment. Je vais voir fi P on vous prepare a diner. ARLEQUIN. Fort bien. A 1 R 3 ( De mon pot, je vous en reponds.)) Maisfurtout, com mandez-nous U n bon potage aux choux. LE CALENDER. je vais dire qu'on vous Vapprete j Et' D E LA M E C Q U E . 209 Et, pour bien couronner la feie, V o u s aurez, je vous en reponds, U n plat de m a facon. SCENE VI. ARLEQUIN feul. AIR, (Ah, mon Dieu / que de joli' fillet.) Ma foi, c'eft un bon Driile Que cet homme ci! II aime la roquiile, Moi jel'aime auffi.... SCENE VII. ARLEQUIN, un fecond CALENDER. LE CALENDER, achevant le Couplet. Ah, mon Dieu ! quelle joli' fille Je rencontre ici! ARLEQUIN, kpart. Ho ho! Voila un animal de Calender qui me prend pour une Pelerine. Il faint que je m ' e n divertiife, en attendant le diiier, LE |