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Show 106 LES PELERINS S C E N E IV. LE CALENDER feul, regardant fin Diamant. A I R 35. {Le premier jour de mes nkes.) A h ! morbleu, la bonne aubeinel Et que je ferai ravi, * Si d'une bourfe d'or pleine, O tcriutaine^ Ce beau brillant eft fuivi, Turlutu tantaleri! W ?v? '*jt <vi? <$ %? $w? <Jf -«d -nff '4/f <tf %#w & <w?%? i&W $ %if SCENE V. LE CALENDER, ARLEQUIN, A R L E Q U I N , d'un air trifle. A1 R , (Dupont, mon Ami.) Ami Calender, L'afTaire s'ebruite; Et tout eft en fair, Pour notre pourfuite. LE CALENDER. N'en ayez aucun fouci, O n ne viendra point ici. • DE LA MECQUE. zo7 ARLEQUIN. Tant mieux. Ah! mon cher Barbaudier! II faut entendre le carillon de diable que font dans les rues les Colporteurs & Colporicufcs! D'un c6td vous entendez: (Groffiffant fa voix, & tournant la bouche: ) Voici lanouvelle Ordonnance do Sultan, a I'endroit d'une fille du Serrail, laquelre s'eft fauvee cette nuit avec un Galand. A un liard ! a un Hard ! (De fa voix naturelle:) D e l'autre c6td on crie: ( D'une voix de femme:) Dix-mille Sequins d'or agagner, pour ce*- lui ou celle qui decouvrira Ie lieu ou s'eft retiree 1'Efclave favorite. ( De fa voix naturelle:) Un autre dit : ( D'un ton enrhume;) Achetez mon dernier Billet. Dix-mille Sequins d'or pour un liard. Us font tout comptez. ( De fa voix naturelle:.) Us font un vacarme enrage. LE |