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Show i;8 LES PELERINS En elle il trouve un rocher, Qu'il ne fauroit toucher. ALI. Eh i mon Enfant! comment aurois-je pu plaire'a une D a m e enferm£e dans le cerrail? T u te moques. ARLEQUIN. A d'autres! a d'autres! BALKIS. Oh! celle-ci jouit d'une grande tiberte*! Le Sultan ne la gene point. Hur vous vous ar-rotates au-deifous de fes fen&res. Ai*, (Un jeune Nonnette.) Par unejaloufie, Elle vous vit; Son ame fut faille D'un mal fubit. Tendrement elle foupira, Et puis s'eaia: Ciei ! que vais je la ! ARLEQUIN. I O gue\ lonli, Lanlaire, O £«e* lanla* DE LA MECQJJE. ifp BALKIS. Elle vous montra du doigt a un de fes Ef-claves , & lui ordonna de vous fuivre. En m ^ m e terns , je fus chargee de louer pour vous la maifon que vous voyez, & dont voici les clefs. C'eft la que la D a m e vous ira voir, par une porte fecrete des Jardins du Serrail. ARLEQUIN. La maifon eft-el le en dtat? BALKIS. A i R 65. ( De Paris jufquau Mifpffipi.) Comment done ! Ceil un petit Palais, Des apartemens meublez a grands frais; V©us aurez la de bons lits mollets, Et, pour vous fervir, nombre de Valets, ARLEQUIN. Et la fricafTe ? BALKIS. Perdrix, beccaffe, Vinsa la glace: O n va pre>enir vos moindres fouhaits, ARLEQUIN. A h , ventrebleu! ... (k AH) M o n Prince, ne lailTons pas fchaper une Q belie occa-non. A L 1 |