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Show So- LES ENRAGEZ. LE MUSICIEN. Voyons. (Ilprend un vtrre que le Medecin a rempli, ey> fentant que c'eft du vin, il It fablt auffi-tot. ) LA FEMME, foupirant. Helas! M. HUBERT, a la Femme. A I R , ( N'y a pas d'mal a pa.) Madame, il faut croire Qu'il en guerira. M . G A L B A N O N , au Muficien , lHi w fant un fecond coup. II s'agit de boire Encor ce coup-la. LE MUSICIEN. N'y a pas d'mal a 5a; N'y a pas d'mal a 5a. (Apres que le Muficien a bu It fecond coup, il rt%arde la terre , leve les yeux au Citl , obferve M. Galbanon cr M. Hubert, ty poufft un fou-fir.) Ouf! M. HUBERT. Voycz comme il change. M. GALBANON. Cela va bien, le remede opere, LA LES ENRAGEZ. 87 LA FEMME. Seroit-ilpoflible! LE MUSICIEN. A I R , (Nt m'tnttndezvous pas.) Quelle tranquillity Bannit majaloufie! Apres la frenefie Dont j'dtois agite', Quelle tranquillity! M. H U B E R T , klaFemmt. Etes-vous contente a prefent? LA FEMME JufteCiel ! quel bonheur! L E M U S I C I E N , ft jettant aux pieds de fa Femme. A I R , (Mar'iez, mariez, mariez-moi.) Chere F e m m e , a vos genoux, Je d^tefte m a conduite. A m e donner mille coups Moi-meme je vous invite: Batonnez, batonnez, batonnez-moi, C'eft tout ce que je mente: Batonnez, batonnez, batonnez-moi, J'ai dome de votre foi. M. HUBERT. II n'y retournera plus, M a d a m e. |