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Show 7<s LES ENRAGEZ. M. HUBERT. N'eftimez pas tant non plus votre Garde. Moulin; car nous avons des filles, voyez-vous. A i R, ( Prtnez. bien garde * votre Cotillon.) 1 Je le voudrois deja bien loin. II m e donne trop de tintoin: Ie fuis toujours fur fes talons: * II faut que je prenne garde A tous les cotillons, 3 A tous les cotillons. Mad. HUBERT. ' II eft vrai qu'il faut un peu veiller fur lui. M. HUBERT. Je veux qu'on l'enferme la nuit dans fa chambre. II eft debruit des je ne fai quelle heure, & rode par toute la. maifon. A I R 34- {Trop matin font-ils levez les Mom,) A la porte de ma Fille, Ce matin je l'ai trouve; Des qu'il m'a vu, ventrebille I II s'eft bien vite fauve. Trop matin 6ft-fl levi, LeDrille, Trop matin cft-il leve. Mad, LES ENRAGEZ. Mad. HUBERT. 77 Paix, paix ! Voici, fans doute, encore de la pratique. SCENE II. M. & Mad. HUBERT, M. RICHARD, ANGELIQUE, OLIVETTE , A R L E Q U 1 N , port ant une Valife. M. RICHARD. Ou eft le Maitre de ceans} M. HUBERT. Vous le voyez, Monfieur. Qu'y a-t-irpour votre fervice? M. RICHARD. Helas ! Angelique ma Fille ,& Olivette ont 6t6 mordues par un petit Cbien qui nous a paru malade. D e s qu'elles m'ont appris cet accident, je fuis parti de Paris avec elks pour les amener ICI. F x Mad. HUBERT. C'eft fort bien fait. D 3 OLi- |