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Show 4H „ LA C R I T I Q UF te , que l'on n'auroit pas dites fiii" r,, . qu'un m e m e des Laquais critout h? ' & «N-e oient plus chattel dea ore H e , ou de qU Cl!« aeite d u corps. "ue de tout |c t c .1/. ^ L * M E N E. Enfin il fauteftreaveugledanscet^P-pas faire femblant d'y voir leschofeS "**' ^ Tl „ r U R A N i E. line faut pas y vouloir voir ce qui n'y eft pas ., , . C L I M E N E. FS' A " je loutiens , encore un m n n i y ere vent les yeux. "P ' <iue ] « falctez Et moy, je ne dctneure p*,' £aceord de cela V. L I M E N E. » la pudeur aue dit Aan^ parlons .•EAfcrarr* U R A N T E. deflbus quelque "u/rVchofe 7 1 ™ " ' " e"tc^ l'ordure, & non p .1. ' V T$ 1ui fe« ment d'un ruban qu'on luy I ff* <"< P"le **• C I I M E N E. A h ! ruban , tant qu'il vous plaira • «,,•, nes. II vient fur ce . to r|Vrr^nar h r< P "" ft- * * * < • furieVfen,^f&™B 0 * * . fiez dire, vous ne fcauriez dcLL^Zl TI a E L i s E H eit vray , ma couflne ; je fuis pour Madame contre ee, to. Ce,to.eftinfoWauSernierpoint Et vous avez tort dc deffeiidre ce , le. C L I M E N E . II a une obfeeniti qui n'eft pas fuportable, E L I S E. Comment dites vous ce mot-la .Madame? C L I M E N E . Obfceniti, Madame. E L I S E. A h ! mon Dieu ! obfcenite\ Je nc fay ce que ce ^rr r'FrOLF DES F E M M E S . 435 J v U d ^ e nfaisjele trouve le plus joly ce m"1- iu m ° n d e ' C L i M E N r- Hnfin vous voyez, c o m m e voftre fang prend m on P^' TJ R A N I E. , rL1 m n n Dieu ; c'eft une c.iufeufe, qui nc dit ^ qu'f le penfel Ne vous y nez pas beaucnup , ^Venvoulexcroire^ ^ ^ • u QUC vous efte, mefchante , de me vouloir h t fufpefle a Madame. Voyez un peu ou j en f fi elle alloitcroirece que vous dites. SeroiSr feTrnaUi u eufe , M a d a m e , que vous euffiez de C L I M E N E . moy ce«e penfee ? Mon, non, je ne m'arrefte pas; a fes paroles, & je vous croy plus fincere_ qu'elle ne dit. Ah ' que vous avez bien raifon , Madame, & j. vous m e rendrez juftice , quand vous croirez J e vous trouve la plus engagcante perfonne du q V cue i'entre dans tous vos fentimens, & £ & & de toutes les expreflions, qui fortent de voftre bouche. C L I M E N E . Helas! je parle faEnLs alIf eS&a Et.i on. J_ A- A «» ^. On levoit bienr M a d a m e , & que tout eft nature! en vous. Vos paroles, le ton de voftre voix, vos re- £Jrds, vos pas, voftre aftion, & voftre aj uftement one fenefcay quel air de qualite , qui enchante les gens. Uous (.tudie des yeux &desoreilles; & je fuis fi rempliede vous , que je tafche d'eftre voftre finge, &dc vous contrefCai rLe ein Mt ouEt .N E. Vous vous mocquez de moy, Madame. £ 1 I S £, Fardonnez-moy, Madame. Quivoudroit femoc-ie de vous ? C L I M S N E. Je ne fuis pas un bon modele, M a d a m e , T 2 ELI- |