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Show 6$ L' E T O U R D I Un envers du bon fens, un iueemenr* Unbrourllon, une bete', uni^Ze J^ Qpe f«y.,e , un, cent fois plus encor oJ\TKi me devienora i«» «* C eft faire en abrege.orre ^anegyriq^^ ** ^ - ^ c S ^ ^ ' o c c a i i o n s , -Apprends-moi le fujet qui contre C O M E D I E. * m e trouve a bout dc m a fubriiite j ^c>C ?.JIdra lors cette pubJique eftime, un fourbe fubJime, <7 ^ - j e fait quelque cholei eclairci-, ,oic?'qae; No„>vousn-avezrienfait;alii5ne,11eruivezpoi, T , . . L E r. l E. p,l! Je te fu.vra. par tout, pour f{avoir ee my|>e« Oui fus done, prepare? vosj.mW^'bienf,; Cat je vais vous foutnit de quoi £ ^ J J J" 11 m'ecliape | 6 malheur q„! £fc f A u d.fcouts qu'il m'a lair q . A a u l 0 • ptendre • ' Et quel mauvais office aurois-ie pu m e rendtt; JFJA du fitcond ~itle. ^ -v., r'esacqunc c lJJJt w . - lt ql % , iTmais vu court d'invenrions ? ,net'etre)amaisjcar.i]e)eftui]e hofc -ufe,- A C T E III. SCENE I. M A S C A R I L L E feras-tu, quedel'eau H S K P O S par ce demon contraire fe.tsesssftaa It s'il pourfuit encor a rompre notrecnance , lwonfens,6tonslui toute notre affiftance dependant notre affaire encor n'iroit p?s mal. . Si par la nous pouvions perdre notre rival, |t que Leandre enfin, la ft de fa pourfuitre, Kous laiflat jour entier pour ce que je medite. Oiii, je roule en ma tete un trait ingenieux , Dont je ptomettrois bien un fucces glorieux, .Si je puis navoir plus cet obftacle a combattre : Bon, voyons fi ion feu fe rend opiniatre. fud. aifez-' vous,mabonte, ceflezvotre % tretien ; j M Vous etes une fotte , & je n'en k rien > fro3 vous avez raifon , m o n courroux , left Kelier rant de iois ce qu'un brouiilon denouc, C eit trop de patience j tk je dois en fortir Apres de fi beaux coups qu'il a fceu divertir, ^laisauffiraifonnons un pen 'ans violence}' Si je iuis mainrenant m a .ulic impatience, O n d i i a q u e je cede a la difficult , SCENE IL LEANDRE, MASCARILLE. M M A S C A R I L E (de'drt. onfleur, j'ay perdu temps, votre homme le L E A N D R E . De Ja chofe luy meme il m'afait un recit; Mais c'eft bien plus, j'ay (cu que tout ce beau my- *«*; (pere, D'un npt d'Egyptietn, d'un grand Seigneur uouj Qui doit parrir d'Efpagne , & venir en ces lieux , Weft qu'un pur ftratageme , un trait facetieux, Une |