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Show 96 L'E T o u R D r Dcmeurcz en repos. L E L r E. Oui, va, jem\rtiendr, . M A S C A R I 1 L E V f^. II faut voir maintenant quel biais je prend . SCENE VII, ERGASTE,MASCARILLE iVl afcarille, je viens te°dfr/. J/' Qui donne a tes d . w i ' ^ S ^ * A heure que ,e parle un jeune Egyptf ^ Quineftpasnoirpourtant, 6c ffi?' L Arrive accompagne d'une vieille fort h 4i Et vient chez Trufaldin racheter ceTt Efr?' Que vous vouliez. Pour elk, u S S f * Sansdoute, Cert l'amant dont CeliL,,,. Eut-il jamais deftin plus brouiile que .,P * Sonant d'unembarra\ nous e n ! 2 7 , ^ . En vain nous apprenons que Leandre eft Uo" Be quitter la partie , 6c ne nous troublerIT"' Que fon pere arrive centre toute efpenn J ' D u cote d'Hypolite emporte la balance * Qi^l a tout fait changer par fon autorit/ it va des aujourd'hui conclurre le train/- Lors qu'un rival s'eloigne , un autre p l u f j ^v^tn(HKeDle»ertoutPefpoitqU3 Toutefois , par u n trait merveilleux demon; ' Je crois q u e ,e pourrai retarder leur depart Et m e donner le remps qui fera neceflaire, Pour tacher d e finir cette fameufe affaire II s eft fait u n grand vol,par qui,l'on n'enfcaitrirj Lux-autres rarement pallent pour gens de bien' Jeveux adroitement fur un foupcon frivole Paire pour q u d q u e s jours emprifonnercedrole Je f a y des Officiers de juftice alterez, Q u i font pour de tels coups de vrais dellberez: DeiTus l'avide efpoir de quelqueparaguafltt, C O M K D I E. c ~ -„».(: rien queleur art aveuglementne rente, ?tVu Ph's innocent, toujours a ieorproft hfi bTonuLrffce eft criminelie, & p.ye fan dcht. Fin du gnutrii** ~*cle. A C T E V. SCENE I. MASCARILLE, E R G A S T E. MASCARILLE. Ihchien! ah double chien ! matincde cervelid Ta perfecution fera-1-die eternelle ? E R G A S T K. Par les loins vigilnns del'Excmpt blafre , Ton affaire ailoitbien , le drole etott cofre , Si ton Maitre au moment ne fut venu lui-meme, En vray defefpere rompre ron ftratageme : ]e ne IcutroisVouifiir, a-t-il dit haurement, Qu'un honnefle-homme foit rrainehor.teufemenr, J'en re'pons fur fa mine, 6c je le cautienne : It comme on refiftoit a lichct fa perfonne , Cabord il a charge fi Hen fur les Records, (corps, Qui font gens d ordinaire a craindre pour leurs Qu'arheure que je parle i!s font encore en fuite, •Et penfer.t tous avoir un Lelie a leur fuite. M A S C A R ILIE. Let:.:itrencfcr.it pas que cet Fgyptien, pftdejala-dedans pour lui ravir fon bien. E R G A S T E. Adieu, certaineaoaireate quitterm'oblige. M A S C G R I L L E. Ouy, je fuis ftupefait de ce dernier prodige; On diroit, & pour m o i , j'en fuis periuade, £ Que |