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Show 88 L* E T O U R D M A S C A R I L ^^^1 *9 ievou^d'un^mer^cheacpu- M A s c il m'a fceu travail^* S e d a n s une nun vi«* - - - d ^ "i TcouU«*f«™£?£~^> Votre e n t r e p r i f e d h i « e F r i c i C U X # Quel jugement CM' ^ ^ d e ^ n e en ces lieu* Je ne fcay ce que c'eft , je ne fay quebaaillei • Mais , Seigneur Trufaldin , foneez-vou? n ' etre , ° S^ u e P ^ Cu d ,^TTme'dit-on, vous deugn<:««*" if»fes?rabefoin de «**•• |^Iste^^**de L E L I E . Ah Tour m o i , point de rep; M A S C A R I L L ] vous avez plus faim que vous ne T R U F A L D I Entrcz done. E L I E. N. Ds qui le gUCUfe: nour vous,encor plus que pour m o y, J'en ay rongi pour v ou*, * voy fe» me trouve conpus d « . I J ^ f ^'sr«, ^dis-^je, dSont*^f'- n*tfouf*frir*qu' onlame- L Apres vous. M A S C A R I L L E . Montieur, en A„ Les maitres d u logis font fans csremonie Tauvre efprit 1 pas deux mots I L E L I E . >aWiinVafurp,j Mais n'npprehende plus, je reprends mes Et m'en vais debiter avecque hardieffe ... M A S C A R I L L E. Voici notre rival qui ne fcait pas la piece, SCENE Hi. LEANDRE, A N S E L M E, A A N S E L M E. rretez-vous,Leandre, cc fontTrcz un difcous Qui cherche le repos 5c l'honneur de vos jours; Je ne vous parle point en perc de ma fille, E n h o m m e intereiTe pour m a propte famiile; Mais c o m m e votre pere e m u pour votre bien, Sans vouloir vous flatter , & vous de'^uiferrien; Bref Ne peut Ah.Pu;e„dre,rortezdece»b3iffeme?ti "".I font toTjours les meilleu- Ah * ^ n u Is ux ftir votre aveuglement: Ouvrez un oeu les yeux in ^ ^ ^ ^ Si notre efprit n'eft P a£ " ^ i o u r s les mcillc rmenie. I Les pluscourtescrreurs Quan o'nneprendendotquelafeulebeaute, It la plusbelle femme attes-peu ^ d^toce Centre cette tiedeur qui fmt la jouiffance . . Te vous le dis encor, ces bouillans mouvonens, fces ardeurs de jeunelfe, & ces emportemens Nous font trouver d'abord que quesnuitsa ret- Mais ces felicitezne font gueres durables, i.oics. Et notre pafiion allentiflant fon cours, > _ Apres ces bonnes nuits donnent de mauvais jours. Dc la viennent les foins, 1 sfoucis, lesmileres, Les fils desheritez par le courroux des peres. L E A N D R E . Dans tout votre difcours, je n'av rien ecoute, Que mon efprir deja ne m'nit reprefente. Je fcai combien je dois a cet honneur infifjne, Que vous m e vender, faire,& dont je fuis indigne; Etvois, malg»el'effort dont je fuis combattu , Ce que vaut votre fillc , cc quelle eft fa vertu s Aufll |