OCR Text |
Show io8 L' E T O U R D T Lors que Naples vous vit quitter votre f™ •., Dont j'elevois l'enfance , tk qui par mill, r, • Paifoit voir des quatre ans fa grace & fe aits Celie que vous voyez, cette in fame forcii?^* Dedans notre maifon fe rendant families*> Alevolaeethrefor. Hela. 1 d e c e r n ^' Votre r e m m e , je croi, concur tant deA , Q u e Cda fervit fort pour avancerilL vi«'***% Si bien qu'entre mes mains cette fille n V M e faifant redouter un reproche flchew ' Je vous fis annoocer la mort de toutes• den, Maisil fautmaintenant, poisqueiel' : Qu'elle fafle fcavoir ce qu'ellee\Z ^ A u nom de Zanobio Rubcrtv on, ' Pendant tou tceKci t rcpctoiVp,qXs70t f T d < i ' ' ? » ' d " " S e q u e l l e t « m P derifi. A Trufrldm furpris , a tenu ce lanjge."*fc < Quot done ! le Ciel m e fait t^ul J"1*, j Cc.u. que jufqu'icy j',, cherche va „e " e > ! " It quei'avo.spivoir, fans pourtant re!„»• I t> fource de m o n fang , & f.uteui de m 0 " ?l C m monpere, je.uisHoraeevotefr""! D Albert qu. m e gardoit ks jours etam fi is M e fentant n a m e au cceur d'autres i n q S , Je fortl, de Bolognc, & quittan. m " S ' PoRudpiurfi, ans mes pas en diver £ ' Selonquemcpouiloitundefircu.ieux • -. ourtant apres ce temps, une fectete envie epreff.aere»bi, les miens. &mapa,ie. M m 4 . M N . p k . , « ! « • jenevoustL i'»l, I Itn y Iceusvotre fort que pardes bruits ccff' S Len , qu a votre quete ayant perdu mes % L Ventfe pour un temps born: mes co0,f« J * ' * t | ay yecu depu.s, fans que de ma m ^ , " ' 3 eu.le d autres clartcz que d'en fcavoir leno, je vous h.ile a mger, fi pendant cc; affaires Truiald.n reflentoit des transports oidimi.es Enfin, pour retrancherceque plus*loilir Voui aurezle moyen de vcus fauc edaiicir, h "c'n. A,„ frere,& c o m m e de fa foeur Andres eft votre ftere, « m em ,1 ne pen. P - f™?; 1 e£n d reconnoitre, (rre j T S ' «<*£« "oure'poufeamonMai- IZZ n0Uvel Horace a propofe fa fille. ^aqueVincide^^lafoisenfantez. jedemeiireimmobnelramdenouveautez. T0U5,iennemfu, mes pas. bors I« deux Cham- Onid^Sat encor remetten. leurs pctfonnes: &eftdelat.oupe, **%£»?\ck. Moi it vaisaver.it mon Maitre dececi, (c'c> I nu'e lo qu" fes vceux on croit le plus d'obfta- U C M « fa &»«' P'°duit cornme "" m'"dC-H Y P O L I T E . Un tel laviffement rend mes efprits confus, ^.e pour mon proprc fort je n'en aurois pas plus. Mais le void venir. SCENE X. TRUFALDIN, ANSEL ME, PANDOLFE, A N D R £' S, LELIE, H Y P O L I T E. TRUFALDIN. [ Ah! ma fille. C E L I E, Ah! monpere; T R U F A L D I N . Scais-tu de'ja comment le Ciel nous eft profpere ? |