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Show L' E T O U R D I , L E L I F. Mais comment Trufaldin chez luy t'a-t-il M A « C A R I I J L E D'un xele fimule j'ay bride le bon sire • Avec emprellement je fuis venu lui dire S llnelongeoitalui, que 1'on le nVprenrl • Que l'on couchoit en joue,& de plusd'uneS'f Celie, dontilaven, qu'une lettreenav-' , I Avoit fi fauflement divulgue la nailTance ' I Qu;on avoit bien youlu m'y meler quelqueM„ I Mais que j'avois tire m o n epingle du jeu • f Et que , touche d-ardeur pour ce qui k t L , I Je venois 1'avertir dc fe donner de U d e D e la , moralifant, j'ay fair de grands difCOur, I Sur les fourbes qu'on voit ici bas tous les j0„ ' Q u e , pour m o i , las d u m o n d e , ScdefaviVJ tame, Je voulois travailler au falut de m o n ame • A m'eloignerdu trouble & pouvoir10* , Pres de quelque honnete homme etre JfflJ ment: * u"Jj Q u e s'il le trouvoh bon , je n'aurois d'auttecr Que de pai:cr chez lui le refte de ma vi-j Et que m e m e a rel point il m'avoit fcefi ravir Qiie (ans luy demander gages pour le fervir' Je mettrois en fes mains, que ,e tenuis ceri Quelque bien de monpere , cc le fruit denied nes j fw Dont, avenant que Dieu dc ce monde m'otat, J'entendois rout debon que luy feul heritat. ' C'e'roitle vray moyend'acquerirfa tendrefle, E t , comme pour refoudreavec votre maitrelTe, fi Des biaisqu'on doit prendre a terminer vos vote'; je voulois en fecret vous aboucher tous dew, Luy-mcme a fceu m'ouvtir une voycaflezbelle, D e pouvoir hautement vous loger avec elle, Venant m'entretenir d'un fils piive du jour, Dont cette nuit en fon<:e il a veu le retour: A ce propos . voici l'hiftoire qu'il m'a dite, Et fur qui j'ay tantot none fourbe conflruite. S? COM E D r trois, f fuffifance, Yotree!piitman4 g< .^^iem^isdereffort. yiais,atantdiffcrer|eni.W ^ ^ ESagftsasP LVnli»e»dWott.rnnen...tbnsuU frrrlSt^'^cegran^ui, Voubn. dans quelque villcemnuT;«y^U; Oa.icfcsKens.rcfpo.tou.tefto.deUr ce, Unfienfilsecoliei, qo.ftndmo.ot donee, ll«rit.BologBe,oapoo.n..c.«c.re...ft u. . Un certain mine Albert jeune favou conduit, j! a i s pour rejoin ire. ons, lerei.de*- vous qu .1 donne, . r Durant deux ans entiers, ne lui fit voir perfonne : Si bien cue les jugeam morts aprei ce temps la, 11 vine en cette ville, & piit le nom qu'il a, Sans que de cet Albert, ni de ce Ills Horace, bouzeansayentdeccruvert jamais la moindre trace. Voila l'hiftoire en gros redite feulement, Afin de vous fervir ici de fondemenr, Maintenant vous ferez un marchand d' Armenie, Qui les:anrezveu fainsl'un 2c l'autre en Turquie. Si i'ay platen qu'aucun , un t?l moyen trouve , Tour les reflufcitet fur ce qu'il a rev( : C'eft qu'enfait d'avanture , il eft ties-ordinaire , D 6 De |