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Show ffa L A C R I T I qjj E 1^ n. u *n• AA «K I1 E.E . II eft vray; noftre amy eft de Cec am .. °oute. 11 veut eftrele premier dc foi n 1 ' ' ^ quon attcnde par refoect f,m • °P1B,°n,& approbationquiP marcheP van", £ " ' ^ tatfiir feslumieres, dont i I J « a *t<ftun an*. prenapt le ctmtraire p7rtV. * veuf! ^ ^ « te fur routes les affaires d'efor it * * 7 ? *? Confu'- fil'Auteur iuveuit m o n t riP f V £ > •*" ^ ^ ^ la faire voir au pubhc il P ^ * ' 2"™ZV* belle du monde F ' * l eUt crouyec ia F;us F L E M A R q^u I S. T ,. DORANTE. feaecelles^u^iUntttr SiS* lent remplacerde quelque chofe c qu' 1 ^ o ? " ' qu'elles perdcnt ; & p e n d e n t que le e r 2 ' ' d'une pruderie fcrppuleufc, leur n S d w e f f i? jeunefTe & d e beaute. Celle-ei P o 2 rTffi J* avant qu'aucune, & Phabilete I fon S ? couvre des faletea ou jamais perfonne n'en avot veu. Onitient qu'il va, ce fcrupule, jufquesYdefi* gwer noftrelanaue, & qu'il n'y a po nt wefquede mots dont ,a Feverite de cette DameneWlere trancher ou la teite ou ia queue, pour lesfylia s deshonneites qu'elle y trouve. } U R A N I E, Vous eftes bien fou , Chevalier. L E M A R Q ^ U I S. Fnfin , Chevalier, tu crois deffendre ta Comed;e en faifant la fatyre de ceux qui la condamnent. D O R A N T Non pas; mais je tiens que cette Dame fefcandali-fe a tort..., E L I S E . Tout beau, Monfieur le Chevalier; il pourroit y il 1 1 7 P A T r r)Fs FEMMES. 44? ffl-r ^R n^p T as%ous.aumoinS; j&XXZ - C cerre .**-- U°n"" EL V E'^',vis & Madame «%*;< 'av change a avis, <xww«« « c* V"ykfien parses r&ons f. convamcanres, «,it le vouict » J ., , V ° d e tout ce que j'ay die. VOUS, «*t t" T, L ( M E N E. V- * - ?as ^ l^^r s"^ ^'eneconcoispas^^ ANIEJ Pn»;;C^ SCENE VI. LYSIDAS , QUlS , DORANTE, LE MAR* ELISE, URANIE, CLIMENE. L Y S I D A S. .»*•*• Te viens un peu tard ; mais il m a ienccroyois. V T I S E C'eft un grand charme que ies louanges pour ar-refter un Auteur. AfTeyez-vous do^c *U&]£L]&MM j nous lirons Yottrc Pica apres foupe. ^ ^ |