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Show LES PRECIEUSES r> u C R o 1 s I H,a v i * ' *oc.uins> V(>us ^zl'audacedVi nos bribes. Vous irez chercher autre na J fut vous ifendre agrcables aux yeux de vo/n u W vousenafleure. Belles,]{ L A G R A N GE C'eft trop dc nous fupplanter, & de nom r . tor avec nos propres habits. usluPpl4 M A S C A R . I L L E O fortune , quelle eft ton inconftance' D u C R. o i s i. Ylte , qu'on leur ote jufqu'a la moindre chof L A G R A K H* A N 0 £. £. Qu'on emporte toutes ces hardes A A , Matntcrunt , Mefdames , en l^tat ' i f 1 ^ vous pouvcz continuer vos amours av?cV'$ f°Pt' qu'il vous plaira, nous vous laiflferons to t:31 de liberte pour cela , & nous vous proiefW J" tieur it m o i , que nousn'en ferons auc.it,. ^ loux. ^"cuncmenc C A T H O S , Ah quelle confufion! M A G B E L O N . Je creve de depit. . , n. \ ' ° L ° N s> aHM*rct«is. Q u eft.ee done que ccci >, qui nous p3Verav autres? rj^m M A S-C A R I L L E Dcmandez a Monfieur le Vicomte. * V i o L o K s, an Vicomte. Qui cft-ce qui nous donnerade Target.^ J O D E L E T. Dcmandez a Monfieur le Marquis. SCENE XVI. GORGIBUS, MASCARILLE MAGDLLON , CATHOS. G 0 R G I B U S. A H ! co^r incr que vous etes , vous rcusircwi dars de beaux draps blar.es, a ce quejevoi.i 22 I Ah,ro„nPerrc'cVun Ecp1eccranS'a,re,aj!s nous one fane. , B v Si *, devtare l»P«" "«*e' kur avez filti & ce;cndan.. l"*1 .'„, I'aJront. M ?„.?< en ferons ransces.ou que A h^^?-e^n,araors)ofVz-vous ma" Waiine ici que la vaine apparence , & ^VcoS"P0'ntbV"tUtOUKnUe- ;/; /«rffwf '«*' < t e« SCENE XVII. rnRGIBUS, M A GDEt O N, G 0 R C A T H d s , VIOLONS. I\ V I O L O N S . •Onfient, nous entendons que vous nous con- Vncieza leur defaut, pour cc que nous avons jo'ue ici. G o R G r B u s, Its bxtiant. Oiii, oiii , je vous vais contenter , & voici fa monnoye dont jc vous veux payer. Et vous, pen-dardes, je ne fai qui rnc tient que ie ne vous cn falTe autant; nous allons fervir de fable & de n-feea tout le monde, & voila ce que vous vous ctea K 3 atci- |