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Show ii8 LES PRECIEUSES S C E NE XIII. DU CROISI, LA CR AV MASCARILLE, J ^ E T ^ ' ^H , aht co^, qUC Si^fe* heuresque nous vous cherchons ' ^^ Am, ahi, ahi, vous ne m'avi*, f' coups en feroient aufli. 2 Pas dit^d A V , . . . J ° D E l E T, Ahi, ahi, ahi. C'eft bien a Jons infLt N ° E* I c i r f a i r e l ' h o m m^ Voila qui vous apprendra a vous connolcrc, Us fiorunt, SCENE XIV. MASCARILLE, JODELET CAttmc MAGDELON. TH0S' MA GDEIOH, y e veut done dire ceci? r» a J ° D E t E T, C eft une gagcure. CATHOS Quoi, vous IailTerbattrede la forte! M A S C A R I L L E . • W B 1 ? I « I Oen'ai pasvoulu fairefemblantdem car Je fuis violent, & je m e ferois emporte M A & D E L O N . Enduret un affront comme celui.Ja, cn r;.. R I D r C 17 L E S. 2t? M A S C A R I L L E. Ce n'eft rien, ne lai/Tons pas d'achever. Nous nous ,0nnoi/Tons il y a Jong-temps & entre amis on ne va pasfepiq^P0"1^" de chofe. SCENE XV. py CROISI, LA GRANGE, MASCARILLE, JODELET, M A < J D E L O N , CATHOS. blc. L A G R A N G E. rA foi i Maraurs, vous ne vous rirez pas de nous> jevouspromers. Entrez, vous autres. Trois ov re Soadaffins entrent. M A G D E L 0 K. Quelle eft audace, de :r3e la forte, dansndtremaifon. ta A « m m m- w mi le eft done cette audace, de venir nous trou- - dansndtremaifon. D u C K o i s i, Qs Ml* kJ V V- IV. \J A O 1 . Comment, Mefdamcs, nous endurerofls quenos laquais foient mieux receiis que nous,- qu'iisvien-uent vous faire l'amour a nos depens, &vousdon-knt le Bal ? M A C D E l O N, Vos Laquais? L A G R A N G E. Oiii, nos Laquais , & cela n'eft ni beau ni inncfte, de nous Us debaucher , c o m m e vous lites. M A G D E L O N . 0 Ciel, quelleinfolencc! LA G R A N G E. Mais ils n'auront pas I'avantace de fe fervir d e IOS habits, pnur voas donner dans la veue ; tk fi vous les voulez aimer , ce f ra , m a foi , pour ;urs beaux yeux Vite qu'on les depouille fur le •champ. ... , 1 OD EL Et. Adieu notre bra verie. M A S C A R I L L E. YoiIalcMarquifat & la Vicomte abas *2 »w |