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Show 84 L ' E T O U » . D I, De voir gens pris fur mer kire parquetqueTurcc> M C O M A S C A E D R I I F. L L E. *5 us, Tuis etre a leur famille a point no mine rend Apies quinze ou vingt ans qu'on les a cru pCr Tour m o i , j'ay veu deja cent contes de la lortp5' Sans nous allambiquer, fervons nous en,qu'in ' J V o u s lcuraurez oui" leur difgrace comer i ^j I t leur aurez fourni dequoi fe rachcter: '"' JMais q u e parti piutot, pour chole neceuaiic Horace vous chargea devoir ici Ion pere, ' D o n t il a fceu le fort, tk chez qui vous d'evez Attendrequelques jours qu'ils y foient arrivcz- ]e vous ay fait tantot des lecons etendue's. L E L I K. C e s repetitions ne font que fuperflues. Dcsl'atord m o n efprit a compris tout lefait M A S C A R I L L E . Je m'en vais la- dedans donner le premier trait L E L I E . Icoute Mafcarille , unfeul point m e chagrine S'il alloit de fon fils m e demander la mine J ' M A S C A R I L L E . 35el!e difficulte ! devez-vous pas fcavoir Qu'il etoit fort petit alors qu'il l'a pu voir> X t puis , outre cela, le temps £c l'efckva»e, Pouiroient-ils pas avoir change tout ion rifted L E L I E . 31 eft vrai; mais dy m o i , s'il connoit qu'ilm'avi QXIQ faire ? M A s c A R i L r. E. Dc mcmoireetcs-vousde'pourvii! \ J ^ O U S nvons dit tantot, qu'omre que votreir^; K'avoit dans fon efprit pu faire qu'un patTage, loot ne vous avoir vu que durantun moment, Lt le poil tk l'habit deguifoient grandement. L E J. I E. !Fortbien:mais:a propoSjCetcndroitdeTurquie!., M A S C A R 1 L L F. T o u t , vous dis- je, eft e'gal, Tnrquie, ou Barbarie. C'eft a vous de rever, & de faire des fonges, D E L i E . Puis qu'en vous, il eft faux, que fonges font m e n - M ais le n o m de la ville ou j'auiay pu ks voir ? fonges. M A s« J T R u- ^^onrt,d0.,erciscettevine. Va,va,,DTrncn^.yncmer:utpIUSne, r. ,1 nrudtnr & vous condnifez bien; A»moins. .oppugn J. .„, Ncdonneznoiniicide^-w^ .„„,' ouetonsmeeftciaintive* Laine-nioygouverner.que^ HoracedansBologneEcolie^:,^dm Zanobio Ruberty dans Naples Citadin, Le Ireccpteur Albert... r L E L I E , Ah | c'eft m e faire honte. * v.m» fmc ieun fot a ton conte? Kon pas du tout; mais bien quelque chore 3ppro-ound il m'eft inutile, il rait le chier, eonch.nl•: (ne >Uparce qu'il fent bien le fecours q u il Sa familiarite jufques-la s'abandonne. Te vais etre de pres eclaire des beaux yeux , Dont la force m'impofe un joug h precieux j Te m'en vais fans obftacle, avec des traits de flame, Peindre a cette beaute les tourmens de m o n ame j Je fcaurai quel arret je dois... mais les voici. SCENE II. LELIE, s T R U F A L D I N , M A S C A R I L L E . TRUFALDIN. ois beni, jufte Ciel I de m o n fort adoucy. M A s c A R I f. L E. |