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Show uir 1'entrj *9?. LES EASCHFUV Vousafortcnnuye. >Jir, , f ' Ceftunvieuximportun, oui n'a pas l w ' £ ,. Et iuij'ai tgujouts quelque d e f a i S S A u , a Luxembourg , &.dans, T J *»»». Ilfatiguelemonde, avec fes reverie• Us> Et des gens, comme vous , .doivent'f, t:en ll D e tous ces fcavans -la , qui ne font b our m o ; 3e ne crains pas , qu>. je VOus il *' Purfque je viens , Mo&euY? f a £ ^ S S > v . . , r E R A S T E . tUnC" A oici quelque foufieur . de ces "ens n„!«i Et vous viennent toujours proleurl a " 7 ? • Vous avez fait, Monfieur ^ c S f f i S ^ Qfil peut, feule, enrichir tous les R o i s d ^ r c ? La plaifante pentee, helas, ou vous voila I Dieu m e garde , Monfieur, d'etre de ces fousla Je nc m e repais point de vifions frivoles Etje vous porte ici les fuiides paroles'" ' rVunav1Sjquepar vous je veux donnerauRoi Et que tout: cache* je conferve fur moi ' Non de ces fors projets, de ces chimercs vai- Dont les Sunntendants ont les oreilles nleines Non de ces gueux d'avis, dont les pretentions' .Neparlentquedevingt pu trente millions. ' Mais un qui tous les ans, a fi peu qu'on le mome En peut donner au Roi quatrecens, dc bunco,L Avecfacihte, fansnfque, nifoupcoo, f Et fans fouler le peu pie en aucune fa'con. Enfin c'eft un avis d'un gain inconcevable, Er que du premier mot on trouvera faifable. Oui, pourveu que par vous je puifle etre pouflL, Elide, Soit, nprs en parlerons, je fuis un peu prefii*. O R M I N Si vous m e promettiez de garder le filence, Je vousdecouvnrois cdtavis unimportance. E R A S T L. Non , non, je ne veux point fcavoir votre fecret. O R MI N. .Monfieur, pour \c trahir, jc vous crov trop d/ cret, I O M E O I E. *£ aJc franchise , en deux mots vous 1 ap- Ft veLlX» j ^.^vcilto.donrjcruhl'invcnc, ^piiu'fr^'^^ ,lcarande3in,f^squ,ilfallIeIedirC' Vo«5 voyCZ I s de mer le Roi tous les ans tire. fee* C1LCencor nul ne s'eft avife , F ' ' a A 1 France, & c'eft un coup aife*, P ^ 1 ^nort d- mer mettre toutes les cotes. M'- E R A S T E-LViseftbon,& plairafortauRoi. i^u nous nous verrons. AdlW)nuu o R M I N. A u moins appuyez-moi, Pourenavoirou.ertkspremieres paroles. °'ji'Cui' 0 R M i * j .. . Si vous vouiiez m e prcter deux piftoles, ^e vous teprendriez fur le droit del avis,. P*- E R A s r E. Oui volontiers. Plut a Dieu , qu'a ce prix, • Detousles importuns je pufTe m e voir quittc ! VdVcz quel contretemps prend ici leur vifite : Vpenfequ'alafinicpourraioieniortir, Yiendra-t-il point quelqu'un encor m e divertir . S C E N E IV. F I L I N T E , E R A S T E. F i L i N r'i. MArquis, je viens d'apprendre une e'trangenou- N < E R A> |