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Show 242 LB C O CU S G A N A R E L L E. Ne vous fachez point tant, m a treV chere M A M o n mal vous touche trop Sc vous me uerc^ P JlTle' C E L i E. t-crcez ^ ame. Mais net'abufe pas jufqu'ate figurer Qu'a desplaintes fans fruit j'en vciiilledemeur M o n coeur pour fe vanger fcaitce qu'il te fajp Et j 'y ©ours de ce pas, rien.nc m'en peut diltrai^' SCENE XVII. SGAASARELLE/™/, QUe le Ciel la prefcrvc a.jamais de danger .Voyez quellebonte de vouloir me vLer E n effet fon courroux qu'excite ma dif^rat- M'enfeigne hautement ce qu'il faut que je falVe Et l'on nc doit jamais fouftrir fans dire mot ' De femblables affronts, a moins qu'£tre un vrai for Courons done le chercher ce. pendart qui 'It fronte > n Montronsn6trccouragea vanger n6trehonte, Vous apprendrez,AMaroufle,a rireanosdepens Et fans aucun refpedt faire Cocu les gens. life rctourne ay ant fait trois ou quairepas. Doucement, s'il vous plait, cet homme a bien J mine D'avoir le fang bouillant, & l'ame un peu murine II pourroit bien, mettant affront deffus affront, Charger de bois m o n dos , comme il a (m ^ front, Je hais de tout m o n coeur les efprits coleriquest Et porte grand amour aux hommes yacifiques. Jc ne fuis point battant, de peur d'etre batm, Etl'humeur debonnaire eft ma grande vertu; Mais m o n honneur m e dit, que.d'une telle offeacc II faut abfolument que je premie vengeance. M a foy laifTons-le direautantaq'il lui pbir.1, A u dian'ire qui pourtant rien du tour en fera: Quand j'auray fait le brave, & qu'un fer.ppyrci peme Iv'aura d'un vilain coup tranfperce'.labedaine, Que par fa yiile ira 1c bruit dc mon trepas, Di- A G I M A I R E ' «43 '^Honne^enferz-vonsptogras* Dices-moy,m"" ar trop melancohque, 2 b l C f Cm% P & * £ craignentla cohque; Et trop *»1» ,c P tr0Uve, ayant tout compzf, pquantatnoi et 'Cocu q U e treSpalTe. L\\ vaut r * e « * « ene 3e v J > Ile ^ l m a l C W t o u r sJ la taille m o m s belie? ^ tortue apres t ^ , pinventio„ pcttefoitq« pren > « [ { i o n t * s'afflig h e r & « de l'rmmme le plus fage, pd'attacher honn fcmme ^ A l l X C S a "on droit tout crime perfonnel, PuiS? VTa or re honneur pour etre cr.mmel Qi!e a ! Strui l'on nous donne le blame, ^ ^ " i S n o u s ont un commerce infame, Inosfernrnes f nsno fa ^ II ^TXztife tk nous fommes les fots: Elles font la fottHe, <x ^.^ Sous devro.ent bien reg cidents, HVons nous P" aJe* * ? "n d , - de nos dcnts > L"f^ S'fac repos de la vie f r .Aili; nuc en eurebien tort, tort.'' M. . . En toutcasce qui pent m'Ater mai fachene C'eftque jene fuis pas feul de maconfraine. Voir cajoller fa femme & n'en temoigner rien , Sepratique aujourd'hui par force gens de bien. N'allonsdone point chercher a faire une querelle, Pour un affront qui n'eft que pure bagatelle. L'on m'appellera for de ne me vanger pas; Mais je le ferois fort de courir au trepas. Uettant la main fur fon efiomach. Je me fens la pourtant remiier une bile, Qui veut me confeiller quelque adion virile, Oiii, le couroux rre prend, c'eft trop etre poltron , Tc yeux teTokimcnt me vanger du larrOn, L2 Dc:.., |