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Show -4M 4 s vo^ to* 414 L'ECOLE DES FEMMES A C, N t S. D u meilleur demon coeur, je voudro; plairc , Que m e cou:croit-il, fi jelepouvois faire. A R N O L P H Mon pauvre petit bee , tu ie p e w , fi tu veux 1Z J** im («,*-> ' ' FVtocyocuet er efegua r;dm ernaotu crea nfto,u pciorn atmemoiu reux 'e ma perfonne Etquitteccmorveux , &l'amout qu'il tec C'eft quelque fort qu'il faut qu'il ait j e t t e fe Ft tu feras cent fois plus heureufe avecmot '' Ta forte pafTion eft d'etre brave &lefte Tu-le feras toujours, va , e Ce leprotcftc- Jans ceflenuit & jour je te careifcrai Je tebouchonnerai/oaiferai, mange'ai-lout comme tu voudras tu pourras te conduit, • Jene m explique point, & cela c'eft tout dire. apart. Jufqu'oii la pafibn peut-e'.le faire aller > Enhn a m o n amour rien ne peut stealer- Quelle preuve veux tuqueje t'en donne', inorate' M e venx-mvoirpleurerfveuxtuiue8^ Veux-tu que je m'arrache un cote- de cheveux» Veux-tu que je me tue I ouy , dy fi tu le veux Je iuis tout pret, cruelle, a te prouver ma flame. A G N E S Tenez, tous vos d.fcours ne me touchent point Pi. me. Horace avec deux mots en feroit plus que vous. A R N O L P H E . Ahi c'eft trop m e braver, trop pouiTcr mon courroux ; Je fuivrai mon deffein , bete trop indocile, it vous denicherei a l'mftant de la Ville; Vous rebutez mes voeux , & memettezabout; Mais un cul de Couvent me vangera de tout. s C E N E V. , v. A R M o L r H E. A L A ' ?' taaUi1 mcfem- „ „ * « « * " Celts Mona.ut.m.sdn I. %.corps mo.t sVn font allez enft-W* £ne .. ^,s m a chambre aller m e la n.clicr, lU^f' ^faou'illavienira chercher, k " 8 . ^ ? feu'ement pour une de*ie-heure, ^PU,S Vur lui donner une fare detnetire , hevaispouriuio fcrme2 V0,1S d o SCE- \^Y -A„-luidonner u:u-'"«-« , -. -,.,lV hevaisp'>^un" enfermez vous des mieux , Ur0aver,nevoiturc h dc$ycux, |jjSiS amourette dcfabulee. SCENE VI. HORACE, ARNOLPHE-II 0 R ACE. ' . ../.r irnbltf dedouieur, On me veut am . ^ PS'S-d'i telle venue, ttta caulecn »" m'eroit pas connue , • vllVienlenceslieuKCelebtercelien . H „ nrmart Dart a mon inquietude. & ^ » " " - ur. contre 'temps plus rude, C toque? dont hierje m'mformo.s a vous , ' kZ le malheut dont ;e reflens les coups , 11, Mt avec mon pere acl.ever m a ruit e, ftc'eft fa fille unique a qui l'on m e de tine. • d 'leius prem'ers mots penfe m'evanouir, Ud'abotdftns vouloir plus long, temps les 0 " " . ^ |