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Show *B. T3 E* r i T Va , va , rendre reponfe a ta bonne M a W Et lui dis bien Sc beau que , malgre fa foulV N o u s ne f o m m e s plus fots,ny m o n Maitre 1?' Et deformais qu'elle aille au Diable avccon? "Cl M A A I K ft T T 1 fitf™ M a pauvre Marinette, es-tu bien eveille'e I A M O U R E V X. J3I Fin du premier ^Atle, A C T E II. SCENE I. A SC A G NE , FRO SINE, E R O S I N E. SCAGNF, je fuis fille a fecret ift. mercy. ' '" A S C A G N E. [Mais pour un tel difcours, fomB(1 " nnoounse bhii^enn itcril? 2 . • Prenons garde qu'aucun nenousvienaefJ£ O u que de quelque endroiton nenouspoijU tendre. E R o s I N E. N o u s ferions au logisbeaucoup moinsfeureme:: Icy de tous cotez on decouvrcaifement, Et nous pouvons parler avec toute afleurance. A S C A G N E. Hclas! que j'ai de peine a rompre mon filence F A O S I N E. Oiiay '. ceci doit done etre un important feast, A s c A G N E. Trop , puifque je le fie a vous-meme a regret, Et que fi je pouvois le cacher davantage, fi Vous nclcfcauriez point. p R O S I N F. H a ! c'eft m e faire outrage, rendre a s'ouvrir h moi ! dont vous avez connu S!nc tons vos interets Vefprit ft rerenu. Moi nourrieavec vous ! & qui tiens fous Cilence pes chofti q ^ vous font de h grande importance! Qui ibis... Oiii, vous fcavez la fecrettc raifon LcachcaOfycuAdetousmonfcxc&maMaifoni vous fcavez que dans cclle ou pafla m o n bas age Te fas, pour y pouvoir retcnir I'herirage bucrelachoitiillenn le jcunc Afcagnemorr, Dont mon deguifement fait revivrele fort i Et c'eft aulfi pourquoi ma bouche fe difpenie A vous ouvrir m o n cceur avec plus d'afleurance. Mais, avantquepafler, FrofinC , a ce dilcours , Ed irciflez un doute ou je tombc toujours. Kepourroir-il qu'Albert ne fceutrien du myftere, nUi mafqueainfi m o n sexe & l'a rendu m o n Pcre ? F R o s i N E. En bonne foi, ce point fur quoi vous m e preiTez, Eft une affaire audi qui m'embanfle aflez : U fona" de cette intrigue eft pour moi lettrc clofe, Erma mere ne put m'e'claircit mieux la chofe. Quand il mourut, cc fils ,1' • tant d'am<at , > Qt... Au tieftin de qui m e m e , avant qu'il vint au jour Leteltamentd'unoncleabondant en ricliefles D'unfoin particulier avoit fait des largeffes Et que fa mere fit un fecret de fa mort, De fon e'poux abfent redoutant lerranfport, S'il voyoir chez un autre aUer tout ^'heritage t h maifon tiroit an li errand ai :: Qqanddis-je , pour cacher un tel evenement, U fuppofition fut de fon fenriment, T on vous prit chez nous,ou vouse'tieznourrie, Votre mere d'accord de certe tromperie Qui remplacoit ce fils a fa garde commis, En faveut des prefens le fecret fut promis. f m e , Albeit ne l'a point fceu de nous 3 & pour fa fem- F 6 E'ay ant |