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Show 41° L A C R I T I que le Parterre y fait- ie n<> v. ^ F f e , p o u r ^ m o , / n c r q u l K « - P o m i d ' a u t t c d t T , ^O^ANTE Tues done, Marquis, de ce* ti cr qui neveulent pas que leFar^err. ^ ^ f c l i r m u n , & qui feroient ta^fchezd'avoir t ^ Co-fvft- ce de la meilleure chofe di. n? T y 8Vec W tre ]0ur fur le Theatre unde nos a^t' K*** ridicuepar-li. 11 ecoutAlZlTvlT (t ^ neunle plus fombre dumonde & tf aVCCunf«- ^yoit Its autres ridoit fon Cm ' AtT\ * ^Ul *?' nlee , il haufioit les efpau£*ft, l"^*** terreenpitie; & q u e l q S is ' ^ gardoit lc to. denic, ii luy'difoi rott1;;s u T ; ; ^ ^ 3 ^ V **c. Ce fut une feconde Cdmedie * T*?' grin de not re amy; iliacnnn, ' cil!elechj. wute I'aflenW;' & cu "n 5 Rabnt hon»*i w »->" , «. dacun aempnra A>« qu on ne pouvoir Fas mieux jouer (V, fi CCOrd prens, Marquis, ieteorie J ^ e r ' ( i u i 1 ^ . Ap. i u r M, > Jclcpt'e, ci les autres 5-ifTi " lc bon fens n'a point de nl^. J ll1' que -f^uelaPdi^etePto de la piece de quin7e fois , re fait rien / ' & au bon gout ; que debout & afllon ZuoT un mauvais jugement ; & qu^fin , T)Q „ " en general, je me flerois afc, a 1'approt S Parterre, par la raifon qu'entre c e S ^ pofent, lly en a plufieurs qui font capab e d T get d'une piece felon les regies , &qu e lcs , t * en jugent par la bonne facon 'd'e„' pger " X fe laifler prendre aux chofes, & de n'avo^r v r ventionaveugle, ny compliance afKtec, ny 1 i" eatefle ridicule. ; L E M A R Q^U I S. Te voila done, Chevalier , le deffenfeur du Par. terre? Parbleu, je m'en re>uis. &jc nemanquc ray pas de 1 avert*, que tu cs de fes amis. Hay,L hay, hay, hay , hay. ; * D O R A N T E . Ry tant que tu voudras; je.fuispourle bon fens, & ne fcaurois fouflnr les ebullitions de cene?.u de nos Marquis de Mafcarille. J'enrage devoir de ces gens qui fe traduifent en ridicules, malgre'leur quahte i de ces gens qui decident toujours, & par-lent DF L'fCOLE DES FEMMES. 44* hardiment de toutes chofes , fans s'y connoi-lent li Tan" une Comedie fe recrieront aux me-tre. qui oa " & branleront pas a ceux qui Cfhan|^Cns ouUoyant un tableau, ou econtant un ^nc rt de S e , blament de m e m o & ouenc C° Tcontre-fetis, prennent parou ils peuvent les tGU',s de 1'A qu'ils attrappenc, & nc manquent ter ^ les eftropier, & de les mettre hors fnlacf E h ! f f l e u Mefieurs, taifez-v«is, ^ n d Dieu ne vous a pas donne la connoiflance f „, chofe ; n'appreitez point a rite a ceux qui ^Tenwndent pi&r ; &Pfongei q«'« «* djtoc S , on croira, peut-eftre, que vous eftes d ha-blleS& enS' LE MARQ^UI a. Parbleu, Chevalier, tu le prens-la.... D O R A N T E . vinn Dieu , Marquis , ce n'eft pas a toy que je K, C'eft a une douzaine de Meffieurs qui des- ? Lnt les gens de Cour par leurs tnanieres extra- ,«»£ & font croire parmy le people que nous I gu reffemblons tous. Four moy je m'en veux ju- S kplus qu'il me ferapofllble; &ielesdaube-faytante^ toutes rencontres, qu'a la fin nsieren-dront fages. L E M A R Q U I S Dy-moy un pen , Chevalier , crois-tu que Ly-fandreait de refprit ? D O R A N T E . Ouy, fans doute, & bcaucoup. - U R A N 1 E. C'eft une chofe qu'on ne peut pas n:er. L E M A R Q^U I s. Demandez-luy ce qu'il luy femble de PEcole des Femmes: vous verrez qu'il vous dira , qu'elle no luy plaift pas. D O R A N T E . Eh mon Dieu ! il y en a beaucouo que le trop> d'efpric gafte ; qu"i voyent mal les chofes a force de lumiere ; & meme qui feroient bien fafchez d'eitre de l'ayis des autres, pour avoir la gloire de decider. T5 URA' |