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Show 166 u P I T H a \ fans doute , un amour a peu de violence Qu'eft capable d'eteindre une ft foible offence' Et ce depit fi prompt a s'armer de rigueur DEetc doeu vqiueeali pTreizx pdoouirt metorie at opruetlieenfto an mddoen afroncCh(¥ ' ccraifonncment-ci, icquci cu " • £ " " " * " Tout ce dont fon capprriiccee aa ?ppuu f ltiait^eir ,m Uaa nSa me A nfique* « " cftC™TJf : ! ^ S ~ 3L'• N o n je ne pretens plus demeuter engage Tour un cceur , ou je vois le peu de part que i'.; Et A , puifque l'ontemoigne une foideur extieJ conferver les gens , jc veux faire de menv A M o v R E u x. t6'/ f<rinie tant cu'entier Je m o n d e durera. ^ ^ en qu'un certain Grec dit, que fa rerepaiTe ZunV^ouv,nt:c,r,gouaezbien,deg^ ce; leouel eft des plus forts: au G R O S - R E N E\ Et m o i de m e m e aufli : foyons tous deux ft& E t mettons notre amour au rang des vieux pen 11 faut apprendre a vivre a ce sexe volage, 5 Et lui faire fentir que l'on a du courage.' Qui fouffre fes mepris les veut bien recevoir Si nous avions l'efprit de nous faire valoir ' Ees f e m m e s n'auroient pas la parole fi haute O 1 qu' elles nous font bien fieres par notre f>. Je veux etre pendu , ft nous ne les verrions Sauter a notre cod plus que nous ne voudrions Sans tous ces vilsdevoirs,dont la plufpattd Or, pafcomparaifon ; car la comparaifon Kousfait diftinftemenr comprendre une raifOn 5 f Et nous aimons bien mieux, nous autres gens d'e-tude, ecomparaifon qu'une fimilitude. Pour moi.fur toute chofe,un mepris me fwpraj. Ecomparaifon done,mon Maitre, s'il vovsphit; Et pourpunirle fien par un autre aufli grand, m es Les gatent tous les jours dans lefiecleounousfc mes. E R A s T E. c corps fans chefeftpirequ une bere j cl n'elt pas bien d^accord avec latere, Oattoutncfoit pas bien regie P „ l e c o m p a s , S voyons arriver de certains embarasi La rtiebrutalealors veut prendre empire nLlaftnnrive, & l'on voir que luntite N ie brutale alors veut prendre empire lslafennrive, tk l'on voit que l'un tn ?di rautreahurhaut: l'un demande du m o u , i • tie du dur; enfin tout va fans fcavoir ou : Poo ontrerqu'icibas, ainfi qu'on rmterprcte, Ia ete d'une femme eft c o m m e la girouette Au hut d'une maifon,qui tourne au premier vent. C d noorquoi, lecoufinAriftotefonvent La compare a la mer j d'ou vient qu'on dit qu monde On ne peut rien trouver de fi ftable que 1'ondc. ]e veux mettre en m o n cceur une nouvelk G R O S-R E N E'. Et m o i , ie ne veux plus m'embaralTerde A toutes jerenonce, cccrois, enbonnefoi, Q u e vous feriez fort bien de faire commemci, Car, voyez-vous? la femme eft comme on Maitre , U n certain animal, difficile a connoitre. Et de qui la nature eft fort enclineaum:!; Et c o m m e un animal eft tous jours animal, Et ne fera jamais qu'animal, quand fa vie Dureroitcent mil ans; aufli fans repartie, Ea f e m m e eft tousjours femme, 8cjamais ne;rJ omme on voit que la mer,quandl'orages'accroit, ientafecourroucer, le vent foufle, & ravage, s rlo-s contre les flots font un remu-menage pnible, cc le vaifleau, malgre le Nautonnkr, a tantot a la cave , tk tantot au grenier j infi quand une femme a fa tete fantafque , n voit une tempete en forme de bourrafque, ui veut competiter par de certains... propos; Itlorsun...certain vent,qui par., de certains flots De...certainefacon, ainfi qu'un banc de fable... O^uand... les femmes enfin ne valent pas le diable, E R A S T E, 'eft fort bien raifonner. G R 0 s- |