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Show 366 L'ECOLE DES FEMMES ^ r i A R N O L P H E . ' V£ue je fens dans m o n ame.... H O R A C E reyenant. Q«i s'en feroit peut- etre un & **5£"" h«> *****.*.** cri%nVZ?u Oh..,. Oh que j'ay fouiTert durant at Jamais trouble d'efprit ne fut Sal a ^ " ^ 1 0 1 ! Avec quelle imprudence & „,B u * ien* II m'eft venu centercette^re 1 ^ Tr^<> Bienquemon autreno»idenneTn!?, B e! ttourdi m o n t r a e enne ans l^rreur, Mais ayant tant fouffert, ie devoid . Jufques a m'eclaircir de ii que ie d7 C0?t r , ind«» *-t: lcavoir pieinement leur commerce fecret * Tachons a le rejoindre , il n'eft pas'oin ie "if fin du premier oittt. A C T E II, SCENE I. ARNOLPHE. IL m'eft , lors que j'y penfe , avantageux fans doute, D'avoir perdu mes pas, & p u manquerfarou. te : Car enfin, de mon cceur le trouble imperieux, N'eut pu fe renfermer tout entier a fes yeux,' Ileut fait eclater l'ennuiquimedevore, Et jene voudrois pas qu'il fceutce qu'il ignore. Mais je ne fuis pas H o m m e a gober le morceau, r O M E D I .367 „Mm > libre aux vceux d'un Damoifeau , i^frt^leeours, &fans tarder,aPPren-i'en vc ittelli-ence entr'eux a pu s'etendre : l»^o u l iour n?on honneur, un notable inter*. ')Pren5,ren V e m m e , aux teimes qu'elle en eft, <la rCg3 fadlir i fans m e couvrir de honte , ille n'a pu ™\\[ * fait enfin eft fur m o n compte. tttoutcequ) ,, voyagemalheureux ! [Un e i n C n * Frappantd laporte. SCENE II. ALAIN , GEORGETTE , ARNOLPHE. AH!Monfieur^ettefoi,;.pH^ n Paix, Venez-ca tous deux j n/r,la oafcz-la. Venez-la, venez, dis-je. Paflex-»»PaUw G E O R G E T T E . H1 vous me faites peur, & tout m o n fang fe fige. Ah. YOU' AR . N O t P H £. . /Untie ainfi, qu'abfent, vous m'avez obei, Otelaue Chien enrage l'a mordu , je m'afTure. ™ A R N O L P H E. ouf lenepuis parler, tant je fuis prevenu , ?etrToque > voudrois m e pouvoir mettre nu. vWeadoncfouftert, 6 canaille maudite, S Homme foit venu.... T u veux prendre la ^ ifuuiittee :? • _ i|fautquefurlechamp....Situbouges.... Jeveux jXsaedifiez.*.. Euh! ouy, jeveux que tous deux.... „ Quiconque remtira, par la mort, je 1 aflomme. C3m.cc eft-ce que chez moy s'eit introduit cet nHuormamiuec :t A Eh? parlez, dfyechez, vite promptement, tot, Sans rever, veut-on dire ? ...... O 4 ALAIN. |