OCR Text |
Show loo L'ETOU A N r> R Je crois votre m a i f o n franche de'tout ombra E. M R D a* a. A S C A R | L L 101 f o u s n o u v h u dant fti fil , m o i rotr a la fifT „ A N D R E' S. ^ Ouy. M A s C A R T L t Quoy t Non. La Matame eft-il marhgcal Monfienr) A N D R E' S. M A S C A R r i L Em S'il etre fon fame , ou s'il etre fon fa A N D R E' s. M ur) M o n foy , pien choly : fenir pour marchandifc O u bien pour rememer a h palais chouftice! Xaprocez, il fault rien il COuftertant tardy. La procurair larron , la fecat pien merchant. A N D R E' S. Ce n'eft p3s pour cela. M A S C A R I L L E . . Fous tone mener fti finc I our fenir pourmener , 5c recartei la file: A N n R E' s. II n'ia-.porte. JeGris a vous dans un moment Jevay faire venir la vieille promptement, Contremander atifi notre voiture prete. ' M A S C A R I L L E . Ly ne porte pas pien ? A N D R R» 5. Llleamalalatete. M A S C A R J L L E . Moi , chavoir de pon fin , & de fromage pon; Entre f o u s , entre fous , dans m o n petit maiflon. g SCENE IV. L E L I E , A N D R E ' S. LELIE fieul. uel q u e foit Ic tranfport d'une ame imr-atiflitd A Q a.-ifeO C o M E D r F. xU plrolem'engage I reft er en «reflte, \ JJKfei faire un autre, 5c voir fan, rien ofer, C o n i m e d c m e s deiiinslcCicl veut ditpoier. Andra fort. Dt,n3„diez.™us quelq .In d«fa« « « dem«i.d • A N n R * s. CVft un log" P">>L<.« P»J Pris """ a' hCUre- ^.,rrinr la maiton appartient, ANDRES. ^ Je ne fay. l * * « " marque au moins qu onia lottC: Lifez. L E L I E , Certes5cecimefurprend,;e/'avoue: Ah»mafoi,jedevineapeuprescequeceft. Cela ne peut venir que de ce q u e j augure. A N D R I* S. reut-on vous demander quelle eft cette avanture ? L E L I E . Tc voudrois a tout autre en faire un grr.ru feet: Mais pour vous, il n'importe, & vous (erez. difcrct. Sans doute l'ecrireau que vous voyez plroitre, Comme je conjecture, au moins nefpuroit etre , Que quelque invention du valet que je dy, Que quelque nceud fubtil qu'il doitavoir ourdy ,, Pour mettre en mon pouvoir certain*? Egyptie.me, Dopt j'ay l'amepiquee & qu'il f.mt que j'obtienut; Jelaydejamanquee, &c memepluucurs coups. A N D a E' s. VousPappellez.4 L E L I E. v i Ceiie. A N D R E* J. H e ! que nc -iifiez vor«„r Vous n'aviez qu'a parler j je vous aurois fans doute Epargnetous les foins que ce pro;ir vous coiVe. L e x i E. • Quoi! vouslaconnoiffez? > • E 3 AN- |