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Show EES FASCHEUX B A L L E T Du Second Atle. PREMIERE ENTRE, E. \ ) E s jmeurs de Eouk I'arritent * u-.ec peine & lcttr l%% - £ * 11 fe Jgr* J *' *' *#""» ** H "din^Tu'cTj^** DEUXIE'ME ENTREE, TROISIE'ME ENTRE'E, QUATRIE-ME ENTRE'E, Par am Jardinur, p j ^HCC r j . , S C E N E I. ERASTE, LA MONTAGNE. E R A S*T E. L eft vraii, d'un cote' mes foins ont reuffi SaisViln autTe oVm'accable, Ik les Aftres fe. ,t adorable objet enfin s'cft adouci: veres jnt, contre: ACTE "mon amour, redouble leurs cokrcs. sfontuteur, m o n plus rude facheux, Fwi denouveau s'oppofe aux plus doux de mes fonaimabie niece a deffendu ma veue , [ v?uca'un autre tfpoux la voir demain pourveuc, Vrohifetoutefois, malgre" fon defaveu , iaccorder cefoir une grace a m o n feu j rt)'aifaitconfentir l'efpntde cette belle, ' fouffnr qu'en fecret je la vilTe chez elle. 'amour aime fur tout lesfecrettes favours, Jans l'obftacle , qu'on force , il. trouve des douceurs ; ?t]emoindteentretien de la beaute* qu'on aime, Lon qu'il eftdeffendu , devienr grace fupreme. le vais an rendez-vous: e'en eft l'heure a peupre's: (uis, jc veuX m'yt r o u v e r P ^ c o c a vanc qu'apres. LA M O N T A G N E. |Suivrai-je vospas i* E R A S T E. Non, je craindrois que peut-Atre JA queiques yeux fufpecls tu m e fifes connoitre, LA M O N T A G N E, ais.n, E R A S T E, Jenele veux pas. LA • ». |