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Show i i 37^ L'ECOLE DES FtM„ Jc ne vous cn dis root, ce oui I » r M E «. Je fcay qu.en vous flat a" ?c ;,'„?'"'' f«. ^ c d e vous . b u f t r . & p u ^ , ^ ? " ^ OHlpoin, U p^,^-- ^ B^ifer ainfi les main? I Ix u lanSu«w ^ u n p e c h - r ^ ^ ^Fcchc,ditcs-vous,^araL,degracC> L ra1 1 0 n M foncftl,nrr Uiie par ces anions le Ciel eft courrouce. Courrouce ? Mais pourquoiVut-il qu'il s'en a rouce r" iu u s c n cour. Ccft une chofe, helas! fi plaifante & fi douce J admire quelle joye on goute a tout cell M jenc lea vois point encor ces chofes-la.' Ouy. C'eft un grand plaifir que* toutes ces tendref- Ces nropos ^ gentrts, & c« donees rarefies, Mais .1 faut les gofiter en toute honnetete-, tt qu en le manant le crime en foit fee, « a i ,A G N E S. *s At ce plus un peche lors que l'on fe marie! A R N O L P H E , Non. A G N E S . Mariez-moi done promptement, je vous prie, A R N O L P H E . Si vcuslefouhaitez, jelefcuhaiteauffi, E t pour vous marier on me revolt ici. A G N E S , Eft-il poffible r A R N O I P H I , Ouy. AGNES. 377 C O M F » r E' A G N E S . ,-.,,-alfe! Que vous m e ferez ane A R N o L P H E. ne VQUS 1 > B r doute point que lh>mc r A G N E s* .nilsvoulez.nous deux..- „, la chofe fer.de ma part rec.proque. 8<,l»cn AGNF. s. donf«moc- , neteconnois point pourmot.quaod que. , p„l„.,oustoutdebon. A^0Olu;,vo«slepou«czvoi, A G N t s« Ouy. A G W E . S . Ma IS quand r A R N O L P H E . D^sccf0ir. 'AGNES r/4»a. ^CCf0lt? ARNOLPHE. , Des ce foir. Cela vous fait done rire. AGNES. 0uJ* ARNOLPHE. , . - Vo.^rU^ente.eftcecjaejeaellre. Hehs!quejevousai\r^^igationl EtGu'aYecluij'aurrudcfatisfac^on. n A R N O L P H E. Avecqui? A G N E Si Avec.,,. Hi. ^ R. |