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Show L'ECOLE DES FEMMES MeUffca-voos.Itoce.emmen.erdelaror^ I -i #•••»• H O R A C E. Jenefcaisouj'enfu^tantmadouleureftW /•:lons,caufeufe} allons A G N E S . Jc veux rtfta ici, rv,„ u R ° N r 1. nites-nouscequec'dUiucccmyifcre-ci *ous nousregardnn* tous fans le pnnvSi ^ ^ -» « , ARNOLPHE. Avecp.usGeloifirj.pourraivousl'appvend-c Julqu aurevoir. tFl«ic.e. O R O K T E. •r Ou done pretendez-vouc a11*,) Vousne nouspatleapoint, c L m e f i n o u S ; ;. A RN O L f HE. TTX8 3i ^ttfeill*f*>&*»** ion murmure, U ^cheveri nymentie. 0 R O N T E. ©; ii„„ j. °uy» maisFourleconclure. Si 1 on vous a dit tout, ne vous a-t-on pas dit Que vous avez chez vous celie dont il s W - Ea fille qu'autrefoisdel'aimableAngelique' , bous des 1 icns fecrets eut le Seigneur Enrique^ Sur quoi votre dilcours etoit-U done fonde ? C H R 1 S A L D E. Je m'etormois aufli de voir fon procede\ A R N O L P H E . Quoi? C H R I S A L D E . D'un hymen fecret ma iccur cut une fille, Dont on cacha le fort a toute la famille. O R O N T E Ft qui fous de feints noms, pour ne rien decouvrir,. Far fon epoux aux champs fut donnee a nourrir. C H R I S A L D L. Et dansce temps le fort lui declarant la guerre j ' ,)bi;gca ie fortir de fa naulc teire, 0 A &&« e O M E D i '• *u Djnsccsliwxi . ^ r- orroaonccequedansfapatne O^^^^^r'm^ofture&rcnvie. AvoitntpUAUir*vi tN T Ei ,„ France, il a cherche d'abord « u f e* UllCaq C H R I S A L D L % vl,el'avoit fait fur v6:re chantC, EtqUnacoab:ementd'extt:-mepauvretc. Parunacoa- r , s A L D E. r\r ^H'a'lecrefleenlame ' CHRISALDE. i ;„, A neu pris quel eft v6tre fupplicc, 15 K f f i a ne vous eft que prop.ee:; f'ir point cocuvous femble-unfi grand b.en, t vous poi ' nianer en eft le vra. moyen. <fr nepiuy ant parler. Oh! O a 0 N T E. D'ouvient qu'il s'enfuit fans rien dire. H O R A C E . Ah,m o n p c r c> ' Vous fcaurez pieinement ce furprenant my Here. Sha»rdenPces lieux avoir execute rP m.e v6tre fa*efTe avoit prcmedite. S p a r k s doux noeuds a'une ardeur mutuelle W * d e parole a vecque cette Belle i * ! 4 elle en un mot que vous venez chercher , tt pour qui men refus a penfe" vous facher. E N a i Q^u E. Jen'enaypointdout^d'abordquejel'ai vue, S 7 |