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Show ft* L A C U I T I Qjj F I. 1 s E. Les johesfacons de .parler que voila - ft. eftes, Madame, une rude jotieufe e T c r i ^ 0 * que jc plains le pauvre Moliere de v L V ^ 5 & ennemie. USa,oirp0ut C «- I M E N E. Croyez-moy, rr-a chere, corrig^ A, u voftre jugement, & p0ur v o C n ^ , ^ ft CLIMENE Helas tcrut & j e mets en fait,' qu'une hon* n femme ne la fcauroit voir fans confufiw taac"?cfte decourert d'ordures & de faletez. ' J y *1 ., U R A N 1 E-II faut done que pour les ordures vous avezrW W r e s , qtie les autres n'ont pas: car pour ml n yen ay point veu. K ™le C L I M E N E . C eft que vousne roulez pas y en avoir veu, affeu. reinent: car en tin toutes ces ordures, Dieumercv y font a vifage decouverr. Files n'ont pas la moind« enveloppequilescouvre; & les yeux les plus hard, font effrayezde leur nudite: F E L I S E. Ah! C L I M E N E , Hay,hay, hay. U R A N I E. Mais encore, s'il vous plaift, marquez-moy une de Ces ordures que vous dites. C L I M E N E . Helas ! eft- il neceffaire de vous les marquer ? U R A N I E. Oiiy : je vous demande feulement un endroit, qui vous ait fort choquee. C L I M E N E . En faut-il d'autre que la Scene de cette Agn6? rors qtfelleditce que l'on luy a prisf VXA» HE L'ECOLE DES FEMMES. «3 V U R A N I E. ftquctrouvc^vousladcfa.^ Ah ! U R A N I E. fc SraCC ? CLIMENE. f)7' U R A N I E. K!aisencore? Q L , M £ N E# Wav rier. a vous dire. Jetwy U R A N i E. Pour moy,jen'yentens point demal. i0U ' C L I M E N E. Tant pis pour vous. 13 V * U R A N I S. PiS voin CLIMENE. L'honneftet^ d'une femme.... L U R A N I E. ,'honneftete d'une femme n'eft pas dans les g n - \1 Tl I d tnalde vouloir eftre plusfige, que * E "mi font fages. L'affetoion en cette matie- ^ p i e qu'en toute autte; &jenevny rien de fi i H e cette deiicatefTc d'honneur , qui prend enmu.vaife part; donne un fens enrninei ^nnocente1 ; paroles ; & s'olTenfe de 1'om- J« des chofes. Croyez-moy , celles qui font tant "fa ns n'en font pas efkme^s plus fences de L Au conmiie , leur feverite mdtcrieufe , & rs primaces afieftees irritent la centre de tout fc nionde, contre les anions de leur vie. On eft ravi de decouvrir ce qu'il y peut avoir a redire ; & pour tombcr dans l'exemple, il y avoit 1 autre jour des Femmes a cecte Comedie, vis a-vis de la Lo-ccoii nouseftions , qui par les mine qu elles at- FcftefWi durant toute la Piece , leurs d&ourne-mens de celt: , & leurs cachemens de vifage , fi-reot d:rc de tout coftez Cent fottifes-deleurcoridni- T tc ) |