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Show 4fO L'ECOLE DES FEMMFC J empecherai du m o m , qu'on s'emp 1 , ^ ' ft t« cette nuit qu'on Prena pour c T L w re te • Ne fe pafTera pas fi Lucent q<,•<?'™», Ce m eft quelque plaifir parmi ?ant de tr ft (r Que l'on m e donne avis du p . e r " u ? 0 ^ f C ' *< que cet etourd! qui veutPm'etrffaul ^ * ailc fon confident Jle fon propre R , ^' SCENE VIII. CHRISALDE, ARNOLPHE. I-Tk- r CHRISALDE. ^T bien, fOUperons.nousavant la promenade> VT • • A R N O L P H E. Non ,je jeune cc foir. C H R I S A L B E . D'ouvient cette boutade> A R N O L P H E . De grace, excufez-moi, j'ay quelqu'autre embarras I M t. C H R I S A L D E. Votre hymen refolu ne fe fera t il pas ? , „ A R N O L P H E. Celt trop s'inquieter des affaires des autres. C H R I S A L D E . O h , oh , fi brufquement ! quels chagrins font les Seroit-il point, Compere, a votre paffion, Arrive" quelque peu de tribulation ? Je le jurerois prefque a voir votre vifage. A R N O L P H E Quoi qu'il m'arrive, au moins aurai-je 1'avantage, Dc ne pas reffembler a de cerraines gens, Qui fouffrent doucement l'approchc des galans. C H R I S A L D E . C'eft un Arrange fait qu'avcc tant de lumieres Vous vous i (Tarouchjez toujours fur ces matieres, Qu'en cela vous mettiez le fouverain Hon-heur, Et ne conceviez pomt au monde d'autre honneur. Etre avare, brutal , fouVbe, m^chant, & lache, N'eft rien a votre a vis, aupres de cette tache, Et de quelque facon qu'on puiffe avoir vecu, On On ' A c O M F D T . * n»eft point eft |,o;nme d'honneur quand on F '„ Venire au fond, po«r,uoi voulez-vous croire , c';' i ,'mmfTieutempecnci. .ed'un mal qu on ne peu P ^ ^ ,i voulez-vous, dis-je, cu v l^f-raigneKonchoinaelouangeoudebla AffrontX"Te> t!"™Vemdu cocuage. |(ttr2.vcus dans1 d p n * q £ douce |mnge; Stf„reen g>la"; h ° ? ™ a u c ; „ n'etant garant, Q„td« coups duhazam a ^^ «;K'Tnt r ema quoi q»e le monde glofe, » r t « h f i c o n derecevoit la chofe , ftpour fe b.en c°nau' f ; j s cxtremitez, < f , U t C r c " "n "" r"u trop debonnaires, Ifioit" pa' <*\??;." K r K s d'affaires, itira„t van.tedcce or J fean faNM toujours vontc. B - , „ . En font r » tout 1 eloge , a F rl? ' •/•„« I** orns font dtonncz , Elte(lu'avecraffon tegm* ft.oirleurnard.effeanao"^er ]e. gt» PaS moms condamna- '::tPrSgnnquitemp,te&quigron. itfe at bruit qi'.l fait le' yeux de tout le mon-f. onipatdterlatfemblentnepas vouloir p tola puiffeignorer ce ou'ils peuven, avoir. Lecesdeuxpartis Hen eft un honnete, ^ MfeH |