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Show 408 L'ECOLE DES FEMMES r> r • . « O R A C 1 ' Q u e je fuis redcvable a toutes vos K ^ J'avois de votre part cram. des diffiT' Mais vous etes du monde & dan '^ : Vous fcavez exeufer le £ ^ ^ g M a V n de mes gens l a ^ an coin d . ^ X T - AF- N O l p HK Mais comment ferons-nous' car il f jour? car " fait un peB Si je la prens ici, l'on m e vi»r« Et s'il faut que chex ^ J ? * ? * * » • ' Des valets cluferonr. PourToJ a , ? T ' ™ • II faut m e l'amener dans un K P I'lfur' Monall.eeiUommode.^i'^.^ttje r> r . " o R A c E. Et chez mil fans «2 £££*£&-• . . A *• N O L P H E ff«/ A h fortune! ce trait d'avanture propice Repare tous les m a u x que m'a fait ton caprice. SCENE III. ' AGNES, HORACE, ARNOLPHE, H 0 R ACE. JSJE foyez point en peine , ou je vais vous me. ner. C'eft un logement fur que je vous fais donner. Vous loger avec moi ce feroit tout de"truire, Entrez dans cette porte, & lailTez vous conduire. Arnolphe luy pr end la main fans qu'elldecomutft, A G N E S . Fourquoi m e quittez- vous ? H O R A C E. Chere A gnes, ille faut. A G N E S . Songez done, je vous prie, a revenir bien-t6t. H O R A C E. J'en fuis affez prefix par m a flame amoureufc. A G N E S . Quand je ne vous vois point, je ne fuis point joyeufe, 'Ho- C O M E D I F. H O R A C E . A, votre prefence on m e voit trifle aufli. ilorsdevotr v A G N E s. .-.•s'il e-toitvrai, vous relteriezici. Heias' H O R A C E . . m \ voos pourriez douterdc mon amourextre-me .^ s „ „ vous n^m'aime, pts aiuan'c que je vous aime. >on j vu Arnolphe la ztre. Ai,'Ton m e tire trop. Ah-10" H 0 R A c E. Celt qu'il eft dangereux- Chere Agnes , q W i ce lieu nous foyons vus tons , 5rti?ami,de qui la main vous prefie, cl^Pe z e P "derat qui pour nous l'interc/Ic-. Suit ie zc v A G N E S. N'apprehendeznen, rnfredetelles mains vous ne ferez que bien. *• AGNES. leffletrouveroismieuxentrecellesd'Horaee. Je H O R A C E. bj'aorois..^ G ^ E s hcdiinuiUtknU Attendez H O R A C E . Adieu, le jour m e chaife A G N E S , Quand vous verrai-je doner v HORACE. Bien-totaiTilre'ment. A G N E S One ie vais m'ennuyer jufques a ce moment! ^ ' HORACE. Grace au Ciel, m o n bonheur n'eft plus en concur* Et je puis maintenant dormir en ailurance. S $CE- |