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Show «>6 LES FASCHF.UX Tour les mettre en embuche aux lieux r\ • Afin .qu'aunomd'Erafte.on \$£***k Mon honneur, que fes feuxontl '.?> A rompreun rendezvous, qui d a S d >fe ,E * K / attaint 4*„ T.itte.tuttouvet.Ann^;^^. Bienqu'xl m'ait voulu perdre Sz?lmVk De fecour.r ici l'ocdede maMakrelTe Je fuis a vous, Monfieur. Maltrelle' D A M i s apres leur fKitt D'un trepas afTeure ^oia-i^fau^ qUelfecou» A qui ELje oblige d'i,' fiZllZiT' Je n'ai fait, vous fervan* JJ^ de rs ,1 . , D A M i s. j e' Ciel! puis - je a mon oreille ajouter oueln,,, r •, Eft-celamaind'Eraite.... uter ^"elquefoi ? E R A S T E. -r , ^U'5 °ui,Monfi-!ir ^fl i Trop heureux, que ma main vous T Z i S Trop malheureux d>avoir merite votre S ' D A M I s. Quoi, celui j dont j'avois refolu le trepas Ah"eVn It TUr m01 Vicm d'«Wfo» b«*! A h ! c en eft trop, mon coeur eft contraint defc rendre ; K Et quoi que votre amour , ce foir, ait pu prCtcrite, Ce trait ii furprenant de ge'nercfite' Doitewufcr en moi toute animofite* Je rougis de m a faute, & blame mon caprice. Ma haine trop long-temps vous a fait injufticc; Et pour la condamner par un eclat fameux, Je vous joins, des ce foir, a i'objet de vos vceux. SC£- o M E x>' i • £• • 2vr S C E N E VI. 0RPHISE,DAMIS, ERASTE,Suite. H , s E tenant uyecun flambeau ® R P I'Arrent a la main. . M. froyable.... D A M • i s 1U n'a rien que de treVagreabie , * * * ? % t tant de vluxque j'aibjamezen vous, & « » aJ,• Vous donne Erafte pour Epoux, C'eaellequivous ^Vlte . So»^sar^lu«, q£c votfemain m'acqinwe. ftjefCWj ' O K P H I 3 E. _ i :„*;#.* ceaue vous lui devez , ,,« fi furpris d'une telle merveille, " I S " l^nt.jedoute.njeveUle. QHen D A M I s. r urons rheureux fort, dont vous allez jouir, C£,e Z4>ionsviennent nous rejouir. * & 2 r E * e veulentjoner, on frappc fort a U porte. E R A S T £. nnifranoclafifort ? QH1,n?P* L ' E S P I N E. Monfieur, ce font des Mafques, n,i portent des crin-enns 3 & des tambours dc Baf- IM&UI e»trent, auiocenpent toute la place. E R A S T E. Ouoi,toujours des Facheux ? hola Suites MH. Qu'on me fade fortir les greains que voisi. N j BAL |