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Show **4 D E' P I T. F R O S I K E. Je trouve que c'eft la raifonner c o m m e ilfiut Mais ces reflexions devoicnt venir plutot ! Qui vous a jufqu'icy cache cette lumieres 11 ne falloit pas etre un grande forciere Pour voir,des le m o m e n t dc vos defleins po Tout ce que votre efprit ne voit que d'anioJ? E'a&ion le difoit ; 6c des que je l'aifce&e ; Jc n'en ai preveu guere une meilleure iffuS A s c A G N E. Q u e dois jefaireenfin,mon trouble eft fans Mettcz-vous en m a place, tk m e donncz cmf F R O S I N E . '^ C e doit etre a vous-meme>en prenant votre,] A m e donner confeil deffus cette difgrace C'a , je fuis maintenant vous, ccvouse'tecw Confeillez-moi, Frofine , au point oujem?' Quelremedetrouver.» dites, jevousenprie A S C A G N E . Helas '. ne traitefc point ceci de raillerie, C'eft prendre peu de part a mes cuifans ennui, Q u e de nrc 5c de voir les termes oil j'en fujs F R O S I M F. K o n vrayment, tout debonjvotte ennuim'eflr, fible, C1U(1 Et pour vous en tirer je ferois mon poflible. Mais,que puis-je apres toutrje vois fort peu dc'cj A tourner cette affaire au gre de votre amom, A S C A G N E . Si rien ne peut m'aider, il faut done quejemea F R O s I N E. H a ! pour cela toujours il eft affezbonne heure; Ea mort eft un remede a trouver quand on veu: Et l'on s'en doit fervir le plus tard que Ton re' A 165 hanrparlcrdc cette a iTairc; A M 0 V R E KollS neutrons en marcl SCBN£ It E*ASTE,GROS-RENE'. F R A S T E. Jincorercbutc? Q R O S-R E N E • i <T j-nrre fut moins ecoutc : Jamais Arobuffadeut ne t u „ e A Fcice "•", w« ,K vous fouhaitiez d'dle. pu momentd enteiien q qBal)t.a.moi. Vi, va, Iffaas eut de iu> , g»Se* ^'^'''Vn/leminm-r.ournelevifage: I, Mar^te uffi., d1 un^ ° de , Ucbawnn, laiffe-ncu , t* fc y4|M K-rn^nToirr^-herrunU.aurte. E R A S T E. Rnffiate"'' recevoir avec tant defterte L mPi r our d'un cceur juftement emporre! 0 premier rranfport d'un amour qu'on abufc ^t!ntPrvray.fcmDlance>eftindignedWc> Et ma plus vive atdeur en cc moment fatal Devoir etre infenftbleau bon-heur d un rival Tout autre n'efir pas fait m e m e chofe en m a place r Etfc Kit moins laifle furprendre a tant d audace 5 Demesjuftes foupcons fuis-je forti trop tard ? Jcn'ay point attendu de fermens de fa parti jcroire. s c A G N i. I it, lors que tout le monde encor ne fait qu'en N o n , non , Frofine , non ; ft vos confeils propJ Ce'coeur impatient lui rend toute fa gloire , N e conduifent m o n fort parmi ces precipices 11 cherche a s'excufer, 5c le fien voit ft peu Jc m'abandonne tout aux traits du defefpoir. Dans ce profond refpeft la grandeur de m o n feu. F a o s i N E. Loin d'aflurer une air.e, cc lui fournir desarmes , Scavez-vcus m a penfe'e? il faut que j'aillcvei: Centre ce qu'un rival lui veut donner d'alkrmes , La ... mais Eraite vieiu qui poanoit nousdifc L'ingratc m'abandonne a mon jaloux tranfport, & It rejettede moi, mclTagc, e'erit; aboid ? Ha! |
