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Show 37o L'ECOLE DES FEMMES, SCENE IV. ARNOLPHE, AGNES, ALAN GEORGETTE. M» v-rvT .^ARNOLPHE. \J N certain Grec difoit a l'Empereur Auo, ft ^ Comme une inftrudion utile IZZr8ufte> Que lor. qu'une avanture en coUe „ S JUiU> Nous devons , avant tout, dire notre A phl'r- Afin que dans ce temps la bile fe temp e S Et qu'on nefaffe rien W l'on ne doT^e irc J'ay fmv, falecon fur Ie fujet d'ARneV Et je la fais venir dans ce lieu tout exp^s Sous pretexte d'y faire un tqur de promenade • A fin que les foupcons de mon efprit malade ' PuiiTent firle difcours la m.ttre adroitement Ft luy fondant le cceur s'eclaircir douccmcrt Venez, Agnes. Rcntrez. uJlain&kG^. S C E N E V. ARNOLPHE,AGNES. - A R N O L P H E . L/A promenade eft belle. A G N E S . Fort belle. A R N O L P H E . Lebeau jour! A G N E S . Fort beau. A R N O L P H E, Quelle nouvelle ? A G N E S . Le petit chat eft mort. A R N O L P H E , C'eft dommage: mais quoi ? Nous fommes tous mortels, & chacun eft pour foi. Lors que j'&ois aux champs n'a-t-il point fait de pluye ? AGNES, C o M E D A. G N E S. I E. 37f Son. A R N O L P « E* Vousennuyoit.il? A ° "jamaisjenem'ennuye. A R N O L P H E . - .» v0USfa^ encor ces neufou dix jours-ci. ^-avez-vousia ^ ES r ,, nenfc, & fix coiffes aufli. , chem.fes J< P e n ^ ayant unpen rhh A * Ire Aon "s, ef/une errange chofe, ^^SS^SHS fur ces mechan.es lan- M"SJ pTu»2erquec'toitfauirefflent .. ,,„ „egag«pas,vousperdriezvraimenr. ,K,nDie«.neB-B A £ H 0 i p H E. •>, villa verit<<qu'"nhomme-r w^de chez nous, je vous jure. >„iuf:,it avec fincerite, Cft aveu qu elle ait ave -^ ,£),^erendurvousfezPerron„e. 0or0ais,uandjelV1vu,vousignorieZpour- BvojSe2fc,rTdoure.auta„tqueffloi. l» fee: mais enfin, center- moi ea« h.fto.rc. F,,.e(lfortAonnante & difficile zeroize. WsfutkBalconatrava.llcraufrats: l^jevspairerfousle^bresd'aupres ^ |