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Show ;io L'ECOL-E DFS M A R T S ^ O A N A R r L L ) » Etv6trefemniecn,endralesflca I S T L. S G A N A R E L L F. Fort bien. tt vous verrez ces vifi-r? m, D'un coil I tfmoigner de n'en ft^SSfiT' Cela s'entend. R i s T E. S G A N A R ,E L L V alfabeUe. , ^ , vous etes un ^ V Rentrezpourn'oui^ntc^ueprati^^, Je veux m'abandonner a la foy de ma fen*. Et pretens toujours vivre aihli que j W ' S G A N A R E L L E U' Que J auraydeplaifir fi l'on le fait cocu' _,. A R I S T E. J ignore pour quel fort m o n afire m'a fait nai^r, Mais jerque pour vous, fiV 0 U S m^;, On ne vous en doit point imputer ledefant Car vos foins pour cela font bien tout'ee nfl taut. v» S G A N A R E L L F . Riez done , beau rieur, 6 que cela doit phjtt D e voir un goguenard prefque fcxagenairV ' L E 0 s 0 R, D u fort dont vous parlcz je le garantis moi S'il faut que par l'hymen il recoivc ma foi ' II s'y peut afiurer, mais fcachez que mon ame N e re'pondroit de rien fi j "crois votre femme. L I S E T T E. C'eft confeience a ceux quis'afTurent en nous; Mais c'eft painbeni, ccrte ,a des gens comme vous. S G A N A R E L L E . Allez langue maudite, & des plus mal- apprifes. A R I S T E. Vous vous etes, m o n frere, attire' ces fottifes. Adieu , changez d'humeur, & foyez averti, Q u e renfermer fa f e m m e , eft le mauvais parti, Jeluisv6tre valet, SGA-O M E' D I F. "S G A N A R E L L E. Jene fuis pas le votre. , bien tous formez l'un pour l'autre • f ,n v,Vi.lirdinfeof<f, Ii n T . U n vieillard infenfe, >t«iliC ,[ i.cr^ert dA*arnus un corpsi tout ccaalUi<e , •vnvier.a.uiAr . m a i f o n •nvic rrLr une telle maifon , fpr crdre dans ces hantifes, X -,'11/pr nous C w „n r oerare u.ui3 *-«-•> ••• -- - !P°" °X.meur qu'avec nous elle a p n - fj fefliences H'en empechcr dans peu nous pr^tcn-r • da:ier ^voir nos chouxfc nos dindons. SCENE III. VALERE' ERGASTE, V A SGANARELLE. VALERE. -,lfte le voila, cet Argus que j'abhorre, K rc Tuteurde celie que j'adore. Le leve S G A N A R E L L E. ft cep« quelque chofe enfin defurprenant, uvoudroisl'accofterts^ileft e»jna puifTance, 1Srdelier avec luy connoiffance. S G A N A R E L L E . yieu de voir regncr cette fevente, ti^pofo«fibienl'anciennchonnftret <; X n c e s lieux, libertine, abfokie, ?***"" VALERE. II ne voit pas que c'eft luy qu'on falue, E R G A S T E. Son mauvais ceil ,peut-Atre , eft de ce cote'-ci : .PaiTons du c6te droit. S G A N A R E L L E . 11 faut fortird'ici, Le |