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Show m L'ECOLE DES FFMMF* A faire reuffir les myfteresd'amour S» Enfin j' ay vu le moncfe , & ?tn fcay e's fWfT II faudra que mod homme iir r W V efles' S. Meffi^ou rou.etdeTa P ^ p g ^ ^ . SCENE VI. HORACE, ARKOLPHE. TA 1 ..."'"ICE, J A place m eft heureufe a vous y rencontrer Je viens de l'echapper bien beil/L ' A u ortir d'avec vouffan, ^ A ^ S « - O n d..Tl °n b3lC°un ^ VCU P^oitre A n/s' Qui des arbres prochains prenuit un peu $„;'.. Apres m'avoir fait figne, elle a fceu Lre en 0 ' Defendant au jardin de m'en ouvrir la pone Mais a p„ne tous deux dans fa chambre W Qu'elle a fur les degrezentendu fon jaloux 11 tout ce qu'elle a pu dans un tel acceiTm e,' C eft de "ie renfermer dans une grande armoire II eft entre d>bord ; jene le v o y o i s p a s ' Maisjel oyois marcher fans rien dire a grands pas. Pouflant de temps en temps des foupirs p i t S ' Et donnantquelquefois de grands coup. file?* L lV J a Frappant un petit chien qui pour lui s'emouvoit • Et jettani brufqucment les hardes qu'il trouvoit, li a memecalle d une m a m mutin£e, Des vafes dont la belle ornoit fa chemine'e Et fans doute il faut bien qu'a ce becque cornu, Du trait qu elle a joiie quelque jour foit venu Enfin apres cent tours ayant de la maniere, Sur ce qui n'en peut mais dechargd fa colere, Mon jaloux inquiet fans dire fon ennui, Eft forti de la chambre, & moi de mon <.tui • Nous n'avons point voulu de peur du perfonnage Rifqueranoustenireniembledavantaoe, ' C'e'toittrophazarderj mais je dois cette nuit, Dans fa chambre un peu tard m'introduire fans bruit, Et touffant par trois fois je me feraiconnoitre, Et je dois au ilgnal yoir ouvrir ia fenetre, Dont ?JlelleM, &fEec ontd>e,d 'IA gne*s, ^^Ttlc^de -egagnerracers ^^fmonfeul ami jeveux bien vous 1 appre ^ v a i s V o n g c a u , chofes necefi-ai.es. SCENE VII. ARNOLTHE. •. i.,ftreaui s'obftine * m e defefperer, AUol 1 1 attre <f" , „,_, j e rcfpirer I CW?Svg.lans co'nfondre la prudence, »' mr 1, dupe en ma maturity , fc,e ^"t i„»ocente, & d'un jeune evente ? "'"r^'lh lofopheon m'a vu vingr annees tn bi' W des maris les triftes deftmfe, Cweopler des mar ^ accidcns ^^t^ryrvoulanc prendre une fern- ^arantir mon front de tous affronts, pepouvoir garanw from5 ( tdc tlrcrdepa :d avec ^ u£ Z*t P««"uC«'hu»ain .P oluique, 1 . r, du fort il &oit arr£td , S r o t t Ici basn'en feroit exempte. ^ 1 'exoerierce, & toutes les lumicres, J^um'acquenr fur detelles matures, AVSvmgt ans & plus de meditation , Smeconduireentout avec precaution, K d W maris ,'aurois qu.tte la trace , ? me trouver apres dans la m e m e d.fgrce. Atatteau de dettin vous en aurez ment., Dcl'obet qu'on pourfuit, jefms encor mint,. S,lon«ut m'eft vole par cc blond.n funcfte, |