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Show *88 LES FASCHEVX L A M O K T A Q H I! Mais au moins fi de loin.... J" d°is fuivre E R A S T F. Et ne veux-tu jamais quitter cette method ite h<»iu-* ..- . u ae, vox loii etairas-tu, D c t e r c ^ e ; ^ ^ ! ; ; ^ ^ ^ ^ O M E O I E. .*** . „,ns qui denous fa (Tent un peu de bruit.; 2rdSSSee/cou^e,av£cquepoidsdebite, }onI ' «,t faire voir notre perit merire: > } '"C j o'iXsX vMooulnui qluee duers ,g cein.sre b iceen q mufet jreu iftusis ,. rouseullen1 *> f, _ A O T r m*to% SCENE n, C A & I T I D E Si 'F k A . ° » *• K A S T B. CARITIDES Onfieur, le temps repugne a Phonneurdev M Le matin eft pi Mais de vous n Car vous dorm A u m o m s , Metlieurs vos gens me 1'afl Et j'ai ,pour vous trouver , pris 1'heu , lflcz , Monfieur, ce aue vous pouvez etre, rtcfulabordlepe«7i.rfe«Hinoi«re, ,rvOi.rc^" C A R T , D E s. r- ,„ r-i vart charme'de vos vertus. Dui'S^,do::rIenomn'cftq^enus: »on C •nficornmun, qu'un nom a la Larane. ltn habille enGrec ont b1Cn m e i i t e c m i - ;euxqu'on voir. -""^rdevj, enne a voirunqui fef et reerrmmiinncceenn eess--, t plus propre a iendre un tel rW Kfais appellcr Monfieur Carkides. ^^vuM,rcncsornetrr.ecroinitrnc'reilltop'aefstbpiacsDn;f',e'ctiV° !r: I " ERASTE. dormez toujours, ^ 1 Encor eft-ce un grand hrf, d o n t T £ nore^ Car deux momens plus tard, je voi: core. s, ou vous hts en ~eurentain{], oici. £ftm m'fi s rcanquois :-.| Caricides foit, qu'avez-vous ^ dire ? C A R I T I D E S Placet, Monfieur , que je voudro.s vous EA- RIV AA iS XT EE.. Monfieur, fouhaitez-vous quelque chofe d- e moiJ ~ A R 1 T l D ES. Je m acquitte , Monfieur, de ce que ie vous doi • Et vous viens.... Exculczl'audace^quim'infplr'c, E R A S T E. Sans tant de facons, qu'a vez. vous a me dire' C A R I T I D E S. C o m m e le rang, l'efprit, la generolite, Quechacun vante en vous ... E R A S T E. Oui je fuis fort vante'. Pa (Tons, Monfieur. C A R Wieui fcftUB mi dans la pofture, ou vous met ycXre emploi, 2 vous conjurer deprefentcrauJM-I Monfieur, vous pouvez le prefenter vous-neme. C A R I T I n E S. eft «ai que le Roi fait cette grace extreme; jisparcememeexecsdefesrares bontez, inrde mechansPiacets, Monfieur, font prcfentez, •iisetouffentksb^nsi ficl'efpoirou je fonde, qu'on denne le mien , quand le f n n c e eft fans monde. E R A S T E. bien vous le pouvez, & prendre v6tre temps. C A R I T I D E S . h! Monfieur, les Huiffiers font de terribles gens. I T I D E S. (ttjreani'tteennptu ilses v Secniarv aqnu'sa d lea ffaaqiluei ndse sa Gnaarfdaersde. s; onfieur, c'eft une peine extreme l«™uv?.;s trairemens qu'il m e faut endurer, lqu'un fe produirefoi-metne K°'jr)am2is ^ Cour m e 'CI0Km retirer, Et toujours, prds des Grands on doit dcreintroduit, P jen'avois conceu i'efperance certaine, li fc"'auPr^ de notre Roi vous ferez m o n Meccne, N Oui5 _ _ ^ ^ ^ ^ ^ i • |