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Show Elle n'en fera rien , Monfieur , . -onlentci plusdurchatimcn romctteza leurs vceux votre CcmfentcirW t je veux m'expofer au plus dur chirinW' i defa propreboucbcellc ne vous c o nW :t la foi qui l'engage , tk l'ardcur qui J *'f Tro Etj S Et A L B 11 faut voir cette affaire. M A s c A R i 159 E R T, L L E a Valere. Allez j tout irabien. A L B E R T . Hola , Lucile un mot. V A L E R E . Jecrains... M A S C A R I L L E . Nccraignezrien. SCENE IX. VALERE, ALBERT, MASCAIULLE LUCILE. S MASCARILLE /„, eigneur Albert, au moins, filence. Enfin Toute chofe confpire au bon-heur de votieame Et Monfieur votre pere avettide vos feux* ' Vous laiffc votre Epoux , tk confitme vos van Tourvu que banniflant routes craintesfiivoles ' Deux mots de votre aveu confirmentnospaiola. L U C I L E . Que mevient done conter cecoquinallure'? M A S C A R I X L E . Bon , m e voila deja d'un beau titic honore. L U C I L E . Scschonsunpeu, Monfieur, quellebellefaillie Eaitcc conte galant qu'aujourd'huy l'on public V A L E RE. Tardon, charmant obiet, un valet a parle, Et j'ay vu malgre moi notre hymen revele. L U C I L E . Notre hymen ? A M o v R R v V A L a R a. ^^^\ On fcait toutadorable Lucile, rt vouloir deguifer eft un foin iuutilc. * L u c i L i. ' nnovTardeur de mes feux vous a fait m o n Epoux. ^ ;" V A L E R fi. reft un Hen qui m e doit faire nille jaloux; ^rrmpruelMenmoinscebonhcurdemaft IMraair$'jd'eiumrF de vos feux,qu'aui hnntcz derdtreame. A l'ardcur ue vos... fefcir que vous avez fujet de vous father, OnecVtoit un fecret que vous vouliez cacher, Et j'ay de mes tranfports force la violence, Anep' oint violer votre exprefie deffence i kail M A S C A R I L L E. It bien, ouy, c'eft moy; lc grand mal que f oiia .' L U C I L E. Eft.il uneimpofture e'gale a cellc-la P Vous J'ofez foutenit en ma prefence m e m e , It penfez m'obtenir par ce beau ftratageme. 0! le plaifant amant! dont la galante ardeur Vect blefler mon honneur au defaut de m o n cceur: Et que mon pere emu de 1'eclat d'un fot conte, Taveavec mon hymen qui m e couvre de honte. Quand tout contriburoit a votre paflion , Mon pere, lesdeftins, mon inclination, On me verroit combattre en ma jufte colere Mon inclination, lesdeftins, cc mon pere; Perdrememe le jour avant que de m'unir Aquiparcemoyenauroit crii m'obtenir. Allez j & fi mon sexe, avecque bienfeance, Se pouvoit emportcr a quelque violence, Je ycus apprendrois bien a m e traiter ainfi. V A L E R E . Cen eft fait, fon couroux ne peut etre adouci. M A S C A R I L L E . LaifleMnoy luy parler. E h ! Madame, de grace, A quoi bon maintenant toute cette gtimace .•* Quelle eft votre pen fee ? & quel bourru tranfport Contre vos propres vceux vous fait roidir ft fort ? Si Monfieur votre pere eftoit h o m m e farouche, Tafie |