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Show L ' E C O L F D F S \r » n Que d'une fcrgc honntte , elle a, r ''"c' Et nc porte le noir, 01,'ai.xW °" v*««no» g^eaulogisW ^'n B^«C: Je ne veux point porter des corn,, r £ C O m m e a ^'epoufer fa foS» fl J« Wii, Je prctens corps pour ^r" l d ? p e l l °' d'elle. P P ' ^°rP3 ' Pouvoir rep^ tr A ' S A B E L I P Vous n>avez pas fujet que jecroy'; S G A N A R E L L E . Jevousapprendraibie^^s'il^^^ Qi»oy<lonc, Monfieur!!..0 * ° *' SGANARELLE _. MonDieu,Madam- f,*.i Je ne vous park P»s, car vous h^t*** ,r . L E O N 0 R. ° ' Voyez-vous Ifabelle avec nous a regret ? S G A N A R E L L Ouy , vous me la gatez , puis qu>;i faut ^ Vosvifltcs ici, nefontquemedeiplaire, E t vous m Vohgercz de ne nous en plus faire. L E 0 K 0 R. Voulet-vousque mon cceur, vous parle net aula? J ignore de quel ceil, elle voit tout ccci aisje fcay ce qu'en moi feroit la defiance- Ft quoy qu'un m e m e fang nous ait donne'naiiiau • ?i Nous fomntes bien peu fmurs, s'il faut que chaqq jour Vos mameres d'agir luy dennent de l'amour, oV c o M E n i , S 1- T T E E. 3°7 cimrfleS'1 3J femmes. „r>i,ves c n ce lieu , Oron^-r«"C,C^"rontmauditSde tr nue c L r , . - . D"U: , .ft Monfieur , bien fujet a foi-iiMe honneur e« , ' " "^itbef.inAiu'onlegarde fans ceiTe: S'il »'«.". '"' r ' „ t l e ces precautions, la S',l^--ll'';":;;„u pieces precautions, ".obftacle a nos intentions?, U '.r^ous m:ttons quelque chofe a '1.'^mele plus fin, ne foit pas one b*w? .ii font vifionsdefous, -'T^nunJenSme, , ^ietr'° Iri ie me voyois contra nice , fe^n'drpence^onfitmerfacrainte. J SGANARELLE. « T KMuPrecepteur, votre education, ^vous routTr'zcL fans nulle emotion. A K I S T E. u r„rP fon difcours nc doit que faire rire, nnlVretieat fort mal par tant d'auftente, Sc font pas la vertu des femmes, ni des til e , Ccii'inneur qui les doit tcmr dans le devoir, tj fcverite que nous leur faifons voir. XSechofe^vousparlerfansfemre, 0,\ine femme qui n'eft fage que par contramte ; U van fur tous fes pas nous pretendons regner, ie trouve que le coeur cfte* qu'ilTaut gagner, U ne tiendrois moi, quelque foin qu on fe donne, honneur guere fur aux mains d'une per.onne , |