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Show Jj8 L'ECOLE DES FEMMES M o n frere , que je croi, fera de mon avis' A R N O L P H E Quo, ? fe lailTera-t-il gouverner par fon fils > Eft ce que vous voulez qu'un nere air 1, n De ne (oavoir pas faire o U hqu'SonJ le? vit "a*uj*ou r- II feroit beau . d'hui Prendre loide qui doit la recevoir delui ^ n , non , c'eft m o n i„tirae , £ ^ mienne, 5 e cltu Sa parole eft donncte 51 fnir«„»;?i- • . £t force de fon fils tous les attachemens. r>*a 1 O R O N T E. C eft parler comme ,1 faut, & dans cette alliance C eft moi qui vous repons de fon ebeiffance. ' T r • -C H. R ! s A *- D E <* Arnolphe. Ie fuis furpris pour moi , du grand emprcfr, Que vous nous faites voir pour cet engagement Et ne puis deviner quel motif vous infpire.... ' _ . ARNOLPHE. Je fcay ce que je fais, & dis ce qu'il faut dire. O R O N T E. Ouy , ouy , Seigneur Arnolphe , ileft.... C H R I S A L D E. C'eft Monfieur de la Souche, on vous l'a deja dif"' A R N O L P H E . 11 n'importe. H O R A C E . Qu'entens-je ? A R N O L P H E / J r e t i u r n a n t ttrsBmce, Ouy c'eft la lemyftere, Et vous pouvez juger ce que je deyois faire, H O R A C E, E n quel trouble,,,. SCE* c O M E D I £•' A'9 S C E N E VIII- „ «rx III ENRIQUE , OROSTE , CB ARN'Ol-PHE- . G E O A O r T T E. Monfieur, fi vous n'etes aupre*. 5 rfe oourroTtbien jJp> ' *«*«" f)iies.la »oi venir. a^^ff&z pas: *»,*remmene, f ^ ^ e fupVrbe. rr^"ttour:codmmed,tleProv.rbe. "°6 Ciel ?&* mes ennuis t Ctft bien ndtre deffein. SCENE IX-AOHIS. ALAIH. G E O R G E J^B. '^okACE^CHR^SALDE. AUOlF HE. VEnez, Belle, venez, r^eSun HU.e&d0ucePrev«cncc: r « H«r4«. . Adieu ,1'eVenement trorape un peu vos fouhaits; I f f les amoureux ne font Pas fatbits, ^ |