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Show vous bar. 3 ^02 L'ECOLE DES M A R [ $ S O A M A X E L L E , Tevoudrois bien fcavoir, puis qu'il faut**.. J drc, uct0ut<r% Ce que ces beaux cenfeurs en moi neiw^ dre> F uventreprcn. A R 1 S T E Cette farouche Vtumcur , dont la feverite Euit toutes les douceurs de la focicte A tous vos procedez infpire un air bizarre tt jufques a l'habit , vous rend chez vc bare. S G \ N A R E L L E . II eft vray qu'a la m o d e il fautm'alTujettir r t ce n'eft pas pour moi que je m e dois vetir N e voudnez-vous point, par vos belles'forn Monfieur mon frere aine , (car Dieu merci vcm D'une vingtaine d'ans, a ne vous rien celer Et cela ne vaut pas la peine d'en parkr.) ' N e voudtiez-vous point, dis-je, fur ces nmit res, D e vos jeunes muguetsm'infpirerlesmanieres M'oblift-er a porter de ces petits chapeaux, Qui laifient eventer leurs debiles cerveaux, Et de ces blonds chevoux de qui la vafte enflure Des vifages humains offufquc la figure ? D e ces petits pourpoints fous les bras fe perdans Et de ces grands colets jufqu'au norabril pendans? D e ces manches qu'a table on voit titer les fauiTes Et de ces cotillons appellez haut-de chaufles i D e ces fouliers mignons de rubansrevetus, Qui vous font reflembler a des pigeons patus? Ec de ces grands canons, ou comme en des entrap O n met tous les matins fes deux jambes efclaves, Et par qui nous voyons ces Meflieurs les galans, Marcher ^carquillds ainfi que des volans i Te vous piairois fans doute£quipe" de la forte, Et je vous vois porter les fottifes qu'on porte. A R I S T E. Toujours au plus grand nombre on doit s'accom-tnoder, E t iamais il ne faut fe faire regarder, J L'wr .rautreexceschoque,^eou f 'un * htf wAkfn ainfi que du langJRe, B***,3*,rf&,"&fa qn5e»prefleme nc, SftS2-""^.SSSSSSS fur !a .node, E'f't fichez qu'un autre eut [ S'J0'C ^''^/MefimalJurquoyquel-onfc fonde, M r f°"Vartife voir feul contre tous. nne du Tage p a « l i e E L L F. ^ -itrd oui pour en faire accro:re, Cacheiescheveu- A R , s T E. / ,*oe fait d u foin que vous prenez, ^un^Ssiettermonageaunez; A ^ S S Jo. fence* je vous voye B>erVrcnda^ecanePlusriencherir, C0*mil ffe^voitne fonger qu'a mounr, |iavi«^lJ1.e ,,:aeur n'elt pas accompagnet, SKOfetenicen ^ N r A R E L L E. ,,,,4 je fuis attache fortement '" d.eporatdeTnonhab.llement-, A B d <lTcXeendepitdelamode. ie«u*unecoenur „„ abrv commode: Vi bon ponrpoint bien lon„, » £tSSS£ XefoiencW "fuphc., .,-n-Vnontufe fakement nos Ayeux , ^Suvrmalfn-aqu^ermerlesyeux. SCE- |