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Show 1«0 D E' r i T V A L K R E. Queregatdea-tulal M A I c A I iv ti B. C'eft qu'il fent lc bafton du core que voila. Lnfin ft maintenant m a prudence en eft cru'e N c nous obftinons point a reftct dans h ru"c.' Allons nous reni'ermer. V A L E R E . Nous renfermer • f • Tu m'ofes propofer un afte de coquip ; ' ^l] Sus, fans plus de difcours, leibus-toi denicr • M A S C A R I L L E ' [t L h I Monilcur, m o n cher Maitre, il eft iidou^{ temps VALERE. ™ Je m'en vais t'aflbmmer de coups, fi \t*>~t Afcagne vient ici, faiffons-lc ; \l fautattS' Quel parti de lui-memc ii rdoudra de prerT' Cependant avec moi vien prendre a la rnaifoa 1 our naus hotter. M A a c A R I L I E . Jen'aynulledemangeaiion Que maudit foit l'amour, tk les filles maudb, Qui vculent en uter, puis font Us charcuuici' SCENE IV. A S C A G N B, F R O S l N E. X^ . A S C A G N E. i_jft-ilbien vxai, Frofine ? S> ne reve- je point! De grace comptez-moi bien tout de point enpok; F R O S I N E. Vous en fcaurez affez le detail j laiiTez faire: Ces fortes d'incidens ne font pour .'ordinaire Que rcdits trop de fois dc moment en moment, Suffit que vous fcachiez, qu'apres ccteftamenc Quii vouloit un garcon pour tenir fa promcllc, De la femme d'Albert la dennere grolTelle oucha que de vous, tk que lui ddcusrniii hi* R E U x. A Rl O V * * v ' ' . sr > ^niiislon?- temps concern Ion de/fan 5 A y 3„, depou long y u b euae, Ci'1V°;'S^i avUepciit innocent U won 3y.allt ",..'"£ Mbza eitant abfent, lz cratnre Q u» *>}? - ouvc]jr. «**l'*?£ or s d i t i o n vrai fang: S, fewinc en fccict lots Vous deviates celuy qui ten™ ^ »hm0?deK5bmaec°lea«r. fille. <:-rouvr t pour Albert ucunc _ ^f^X* en voU«tr«, i Crnrevillte oujelpeioislip.nl. T,u " n n ouvoit croire, a U«vi votre feu Ce«lS"svous.elacl»e ; & par votre autre affar. re fecial de fon fecret devenu necelTaire, Nous en avons nous deux votre pere wformc; Un billet de fa femme a ie tout confirme, Et pouflant plusavant encore none pomte, Qudqucpeu dc fortune a notre adreffe jointe, Aux intcretsd'Albert, dePolidore apics Nous avons ajufte fi bien les intcrets, Si doucement a luy deplie ces myfteres, Four n'effarouchcr pas d'abord rrop les affaires, Enfin pour dire tour, meneii prudemment Sen efprit pas a pas a l'accommodement, Qu'autant que votre pere il montre de tendreffe A confirmei les nceuds qui font voftre ailegteflc. A S C A G N E> Ha I Frofine, la joye ou vous m'acheminez.. , Et que ne dcis je point a vos foins fortunez 1 F R 0 S I N E. Au refte, le bon-hommc eft en humeur de rire, Et pour fon fils encor nous rieffend dc rien dire. SCE- |
