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Show 140 D E' P 1 r Et cependant jamais , a cet autre mcflW Eilic ne tut traittee avecque tant d'ou r?„' Je ne fcay , pour caufcr de ft brands r gC< C e qui s'eftpupafler entre eef e o u r V m ? ^ -n • > n . L * C r L E- * Rien nc s eft pu pafier dont il f^ie atrp„ Puifquc rien ne le doit deffendre d e ! > Q u o i ! tu voudrois chercher h o r s d e ^ i T 1 ' La fccrette raifon de cette indignite* acliet' Cet ccritmal-heureux, dont m o n ame S V , Peut-il a fon tranfport fouffrir la moiod: M A R I N E T T E ^ E n effet 5 je comprends que vous aver »;r Et que cette querelle eft pure trahifon fl| N o u s en tenons, M a d a m e ; 8c puism-L, ., A " %»> $?»' «e pcndard^S merveille, • ut Qui pour nous acrochcr feisr.ent h»,ui Laiflons a leurs beaux m o t ] . f o n d S" Foinde notre fottjfe, &cpeneroitdesho0o, - U C I t E. s'envante,*. 2 " tttI? P M ! u)« d en triomphet long-t H e bien, bien; qu'il s'en vante, fcriea nosdeo 31 n^.urapas u,et d e n triomphetlong..ZH Et je lui ferai voir qu'en une ame bien fait? ' L c mepris fuit de pres la faveur qu'on rejette. M - A R I K E T T E Au moins, enpareilcas; cft-ceunbon-he^ doux, a Quind on fcait qu'on n'a point d'avantagef«rvo* Marinette eut bon nez , quoi qu'on en M D e ne permcttre rien un foir qu'on voufoitrijT Quelque autre , fous efpoir de matrimonioa Auroit ouvert l'oreillc a la tentation; Mais m o i , nefiiio vos. L U C I L E . Quetu disdefoliw! Et choifis mal ton temps pour de relies fillies! Enfin je fuis touchee au cceur fenGblementj "Et, ft jamais cclui de ce peifidearuant A M o u R s o x. U* . un coup de bon-heur.dont j'aurois rorr,je pen- V0U oir a prefenr concevoir Iterance, (lc, ^ Cielatropprisplaifiram'a^ger, In-donner cclui de m e pouvoir vanger; . \ T dis-ie, par un fort A mes dcfns propice, K n d r o h m^ofeir fa ^ie en Tacrifice . fte^espiedsl'aftiond'aujourd'hui, I e deffens fur tout de m c parler pour lui. i ontrairc, je veux que ton ze W e x p r i m e ' M e t t r e aux veux la grandeur dc ion civ fc£T fi mon cceur etoir pour lui rente (me. l,€dclccr!dre jamais a quelque lachete, Ltonafftftion m e foit alors fevere, 'tiennc comme il faut la main a m a colere. M A a 1 N E T T E- ^nt n'ayez point pcur,& Iaifiez faire a nous; L pour le moins autant de colere que vous; 1 je fl-rois plutot fille toute m a vie, lemon gros traitre aulli m e redonnat envie. il rient... SCENE V. IRINETTE, LUCILE, ALBERT. R A L B E R T . cntrcz, Lucile, & m e faites venir :?rccepteur, jeveux un peul'entretenir, ,: m'informer de lui qui m e gouverne Afcagne, filfpit point quel ennui depuis peu l'accompag- IIcontinue ft-ul. (nc. 1 quel gouffre de foins 6c de perplex he pus jctteuneaftidn faire fins equiter run enfant fuppofe par m o n trop d'avaiice (ce, ioncoeur depuis long-temps fouffre bien le fuppii-jtquand je vois les maux ou je m e fuis plonge | hois ace bien n'avoir jamais fonge. r [e crains de voir, par li fourbe eventee, fcfamilk en opprobre ck mifere jctre'e ; •mot, pierce fils-la, qu il m e faut conlerver, urains cent accidens qui peu vent airiver. S'il |