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Show D E* P I x E R A S T E. O u fic 'eft chofe vraye , on fi c'eft i m p o f r^e 1 r* a M A s c A R , L L E r UIC- 1 our v " q U >H V ° U S P k a k a : >c ne fui* Pas ici i oui vous nen contefter. * l E R A S T E. Veux>tu dir»5 xr • • S M I m.rcbander, dequoi te delict laC,?' Ille ita fane encor cacique fotte hat n<n„ ^ c , ce grace , plfitot, fi vous le'trou.,^ It me la.fiez t.rer mes chaufles fans ^ E R A S T E. T u mourras , on je veux que la veritc our. S'cxpimie par ta bouche. vcutcpure MASCA&Ittl. ^s)peut.Jtre)Mo,ficu"^)^-c. T , . E R A S T E. °* i arle : mais prens bien garde a CP nR.. Si tu mens d'un fcul mot en ce que tu dirts' ,. r M A S C A R I L t E j y comers, rompez- moi les jambes & les tar faites-moi pis encor, tuez moi fi j'impofe E n tout ce que j'ay dit ici la moindrc chofe. E R A S T E. C e manage eft vrai > M A S C A R I L L F„ A f . . . M 1 alang«e,cncetendroit> A fait un pas de clerc dont elle s'apercoit • Mais, enfin , cette aff.irc eft comme vous'laditcs: Et c eft apres cinq jours de nocturnes vifites Tandis que vous feme* a mieux couvrirleJrj- Q u e depuis avant-hier ils font joints de ce noeud;' Et Lucile depuis fait encor moinsparoitre La violentc runout qu'elle porte a mon Maitre, Et venr abfnlument que tout ce qu'il verra, Et qu'en votre faveur fon cceur timoignca, A M O U R B V X - 129' . « M a l'efiet d'une haute prudence, lV:m le\iursiccrctsoterJaconnoiflance : . ^ r e m e s fermens, vous doutez de m a 101, Sl' R?ne pent venir une nuit avec moi j D ° S , vferaivciretantcnfentinelle W I vons dans l'ombre un libre acccs chez ^ ^ E R A S T E. O.c.toideniesyeux.maraur * Etde grand cceur. ***«**%?> s r , He bien ! G R O SR E N E\ He bien! Monfieur: K o M«Mnonstons'dwx, t r i m eft veritable. E R A S T E . L ' il ne fell que trop , le bourreau detefhole. fc!oistropd'appaKnceatoutcequ'iUdiC: it ce qu'a fait Valere, en voyant cer dent, «,Js bien leur concert, & que c'eft une b ye Quifcn fans doute aux fcux dont ttngratclepaye. SCENE V. MARINETTE, GROS-RENE', ERASTE. MARINETTE. Je viens vous averrir que tantoft fur Ie foir MaMaitreffcaujardinvouspermetdela voir. E R A s r E. Ofes-tu me parler, erne double, cc traitrelTe c Va,forsdemaprefence, & disata Maitrefic, Qu'jvecquc fes ecrits elle m e laiffe en paix, Etquevoilal'e'tat ,infame, que j'en fais. M A R I N E T T E. Grcs-Rene,dis-moi donc,quellc mouche Ie pique? G R O S-R E N E\ M'ofes-ru bien encor parler ? femei!einique, Crrcodlletrompeur ,deqni le cceur felon Eft pirc qu'un Sacrape, ou bien qu'un Lcftrigon. r 5 Va, |
